GénéralesGif : Oeuvre d'origine : The Witcher Avatar : Henry Cavill Crédits : moi Messages : 19 Date d'inscription : 03/04/2024 Âge : Dans les cent ans Quartier : Juggernaut Situation amoureuse : Célibataire Métier : Sorceleur, il tue des monstres contre de l'argent. Type : Humain à la base ayant subit une mutation le changement profondément. Particularités & Pouvoirs : • Excellent combattant au corps à corps (pour ne pas dire le meilleur) maniant l'épée comme personne que cela soit celle d'argent ou celle d'acier. • Les mutagènes ont changés sa physiologie le rendant plus fort, plus rapide, plus agile, plus résistant. Tout cela peut encore être augmenté par certaines potions. Potions qui peuvent aussi lui conférer quelques capacités supplémentaire (telle la nyctalopie). • Une sorte de sixième sens capable de lui éviter bien des embuscades. • Il manie quelques puissants sortilèges nommés signe : Aard (consiste à propulser de l'énergie dans une direction voulue, ressemblant à de l'air), Igni (le feu), Yrden (piège magique pouvant provoquer douleur, empoisonnement, aveuglement etc), Quen (champs protecteur qui apparait autour du sorceleur), Axii (vague psychique permettant d'influencer les personnes/créatures visées et les plier à sa volonté) et Heliotrope (lui servant entre autre à amortir un coup violent). Chaque signe nécessite des gestes de la ou des main.s et son nom prononcé à voix haute, leur puissance dépend de la concentration du sorceleur, de la profondeur de sa mutation et de la force que le sorceleur veut mettre au sort.
Cela fait quinze jours maintenant qu'il est dans cet hôpital et il en a assez, il a toujours cette impression que dans sa vie d'avant il ne restait pas aussi longtemps sans bouger, sans rien faire. Il ne se souvient de rien pourtant mais l'envie de bouger galope dans ses veines, dans ses jambes et cela ne l'aide pas à rester sagement dans sa chambre et alité comme le personnel soignant aimerait qu'il le fasse. Il y a autre chose dont il est presque certain, c'est qu'avant il ne dormait pas autant qu'il peut le faire là et s'il met de côté les migraines et vertiges, il se sent en pleine forme même avec seulement quelques heures de sommeil. Il est donc difficile pour lui de rester sans broncher et cette nuit n'échappe pas à cela, on est au milieu de la nuit même et il n'arrive plus à fermer l'oeil depuis un petit moment déjà. Forcément, il passe un moment à essayer de forcer sur sa mémoire, à tenter de raviver des souvenirs n'importe lesquels, tout serait bon à prendre !
Lassé de cet exercice qui finalement ne le mène à rien une fois de plus, il se lève, commençant par faire les cent pas dans sa chambre, s'arrêtant pour observer les affaires qu'il avait sur lui lorsqu'on l'a trouvé inconscient. Comme si les regarder pour la millième fois pouvait changer quelque chose, à part un sentiment de familiarité et des suppositions, rien de plus ne peut en sortir. Cela ne loupe pas et cela ne fait qu'ajouter un peu plus de frustration à sa condition. C'est d'ailleurs la même chose lorsqu'il passe par la salle de bain et reste à se fixer dans le miroir, il a déjà vu tous les détails qu'il pouvait et ce n'est pas ainsi qu'il pourra retrouver sa mémoire, il le sait pourtant. Frustration. Les médecins lui ont pourtant dit que tout reviendra en temps et en heure, qu'il ne doit pas chercher absolument à avoir des réponses. Sauf que ce ne sont pas les médecins qui ont oublié jusqu'à leur nom mais lui, rien que de savoir comment il se nomme pourrait lui faire du bien.
Bref, il faut qu'il se change les idées et se dégourdisse les jambes, il en peut plus de rester inactif comme ça, si bien que c'est tout naturellement que l'envie folle de faire un tour hors de sa chambre lui vient. L'homme aux cheveux blancs ouvrant alors la porte de sa chambre, délicatement en faisant le moins de bruit possible pour ne pas alerter l'infirmière de garde puisqu'évidemment il sait qu'il ne devrait pas faire ça. Il sait très bien qu'une migraine ou un vertige pourrait le prendre à n'importe quel moment mais il s'en fiche bien sur l'instant. De toute façon ça aussi les médecins lui ont dit que ça passera un jour ou l'autre alors pourquoi s'en faire ? Il n'a aucune raison pour ça. Une fois hors de sa chambre et la porte fermée, c'est à pas de loup qu'il progresse dans le service de neurologie pour pouvoir en sortir, un léger sourire en coin le prenant quand il voit l'infirmière entrain de somnoler sur un livre.
Bien que les lieux soient calmes de nuit, il peut entendre qu'il y a tout de même de la vie, du mouvement sans savoir d'où ça peut provenir, sans chercher à aller dans une direction en particulier. Il se contente de se promener dans les couloirs tranquillement avec potentiellement dans l'idée d'aller dehors alors qu'il a remarqué une espèce de jardin intérieur mais pour l'atteindre il faut passer vers l'entrée. Heureusement pour lui personne ne le voit faire et il peut progresser tranquillement en prenant le temps de faire une pause ou deux sur le trajet ; visiblement il est loin d'avoir la pleine forme que laisse supposer sa stature. C'est au détour d'un couloir qu'il entend des bruits de pas avant de voir la silhouette d'un jeune homme, un "Fuck" passant ses lèvres, est-ce qu'il va devoir faire demi-tour ou alors la personne va le laisser continuer sa balade nocturne ?
Steve Harrington
✦ Wanderers
GénéralesOeuvre d'origine : Stranger Things (saison 4) Avatar : Joe Keery Crédits : cheekeyfire (tumblr) Messages : 31 Date d'inscription : 18/06/2023 Âge : 22 ans Quartier : The Heart, principalement, mais on peut le trouver un peu partout Situation amoureuse : célibataire, ne croit pas vraiment en l'amour, n'ose pas s'avouer qu'il préfère largement les hommes Métier : veilleur de nuit à l'hôpital, également membre d'une organisation humanitaire d'accueil Type : Humain Particularités & Pouvoirs : Aucun talent pour quoi que ce soit, hormis le maniement de la bate à clous.
La nuit était calme. Comme souvent à l’hôpital, au fond. Quand Steve avait postulé, il s’était dit que les choses allaient être compliquées, qu’il allait devoir gérer les patients qui n’avaient pas envie d’être dans leurs chambres, les urgences d’un genre ou d’un autre, mais ce n’était en général pas le cas. La plupart du temps, il se contentait de regarder les caméras de surveillance, faisait quelques tours des couloirs plus vides les uns que les autres, saluait les quelques personnels hospitaliers qui devaient veiller sur les patients... Et c’était à peu près tout. Il avait essayé de se mettre à la lecture pour passer le temps, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. Son esprit était trop ailleurs. Il était donc retourné à sa passion assez nouvellement trouvée du dessin et passait des heures à croquer ce qui l’entourait, ou certains de ses souvenirs. Il savait que certaines pièces du puzzle étaient manquantes, qu’il avait oublié une partie des choses qu’il avait pu vivre – après tout, il avait d’énormes cicatrices dont il ne se souvenait pas – et cet exercice l’aidait à rester en contact avec cette partie de lui. Ici, personne d’Hawkins, il fallait qu’il se débrouille seul, qu’il affronte chaque journée comme si de rien n’était, comme s’il ne portait pas le fardeau de cette existence passée et de tous ces gens qui ne faisaient plus partie de sa vie. Un long soupir franchit la barrière de ses lèvres tandis qu’il arrivait à la fin d’un dessin de Robin, dans son uniforme de chez Scoops Ahoy. C’était aussi une façon pour lui de se souvenir. Est-ce qu’elle ressemblait vraiment à ça ? Il ne le savait pas, ne le savait plus. Peut-être que ses yeux n’étaient pas tout à fait comme ça... Que ses cheveux ne tombaient pas... Il se stoppa net. Mouvement inhabituel sur l’une des caméras, son regard se tourna aussitôt vers l’écran, sourcils froncés. Il repéra rapidement un patient du service de neuro, qui était arrivé deux semaines plus tôt. Amnésique, un peu trop enclin à sortir de son lit, mais pas méchant. Malgré tout, il n’avait pas le droit de se promener ainsi, et c’était son job d’aller le raccompagner bien gentiment. Il se leva donc et prit la direction du dernier endroit où il l’avait aperçu. Il ne lui fallut pas énormément de temps avant de le retrouver, et un petit sourire étira ses lèvres en l’entendant jurer. Prenant la parole, Steve fit attention de ne pas trop hausser le ton, tant pour ne pas effrayer le type – qui faisait à peu près 20 mètres de haut et tout autant de large au niveau des épaules – que pour éviter de réveiller tout l’hôpital.
« Désolé, je dois mettre fin à votre petite escapade nocturne. »
Il offrit une moue triste à l’autre, haussa une épaule.
« Je sais qu’être à l’hôpital n’a rien de très amusant, mais vous devez vous reposer et la nuit, ça sert à ça. »
Il vit le visage de l’autre homme se teinter d’une déception certaine et se mordit la joue, réfléchissant. Après tout, la nuit était vraiment calme et il n’avait rien de mieux à faire... Ce n’étaient pas dix ou quinze petites minutes qui allaient changer quoi que ce soit. Soupir.
« Bon. D’accord. Mais je vous accompagne et quand je vous dis que c’est fini, on retourne à votre chambre. Deal ? »
S’il pouvait améliorer au moins un tout petit peu son quotidien, pourquoi ne pas le faire ? Ce n’était pas comme si ça lui coûtait quoi que ce soit.
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La nuit était calme. Comme souvent à l’hôpital, au fond. Quand Steve avait postulé, il s’était dit que les choses allaient être compliquées, qu’il allait devoir gérer les patients qui n’avaient pas envie d’être dans leurs chambres, les urgences d’un genre ou d’un autre, mais ce n’était en général pas le cas. La plupart du temps, il se contentait de regarder les caméras de surveillance, faisait quelques tours des couloirs plus vides les uns que les autres, saluait les quelques personnels hospitaliers qui devaient veiller sur les patients... Et c’était à peu près tout. Il avait essayé de se mettre à la lecture pour passer le temps, mais ça ne fonctionnait pas vraiment. Son esprit était trop ailleurs. Il était donc retourné à sa passion assez nouvellement trouvée du dessin et passait des heures à croquer ce qui l’entourait, ou certains de ses souvenirs. Il savait que certaines pièces du puzzle étaient manquantes, qu’il avait oublié une partie des choses qu’il avait pu vivre – après tout, il avait d’énormes cicatrices dont il ne se souvenait pas – et cet exercice l’aidait à rester en contact avec cette partie de lui. Ici, personne d’Hawkins, il fallait qu’il se débrouille seul, qu’il affronte chaque journée comme si de rien n’était, comme s’il ne portait pas le fardeau de cette existence passée et de tous ces gens qui ne faisaient plus partie de sa vie. Un long soupir franchit la barrière de ses lèvres tandis qu’il arrivait à la fin d’un dessin de Robin, dans son uniforme de chez Scoops Ahoy. C’était aussi une façon pour lui de se souvenir. Est-ce qu’elle ressemblait vraiment à ça ? Il ne le savait pas, ne le savait plus. Peut-être que ses yeux n’étaient pas tout à fait comme ça... Que ses cheveux ne tombaient pas... Il se stoppa net. Mouvement inhabituel sur l’une des caméras, son regard se tourna aussitôt vers l’écran, sourcils froncés. Il repéra rapidement un patient du service de neuro, qui était arrivé deux semaines plus tôt. Amnésique, un peu trop enclin à sortir de son lit, mais pas méchant. Malgré tout, il n’avait pas le droit de se promener ainsi, et c’était son job d’aller le raccompagner bien gentiment. Il se leva donc et prit la direction du dernier endroit où il l’avait aperçu. Il ne lui fallut pas énormément de temps avant de le retrouver, et un petit sourire étira ses lèvres en l’entendant jurer. Prenant la parole, Steve fit attention de ne pas trop hausser le ton, tant pour ne pas effrayer le type – qui faisait à peu près 20 mètres de haut et tout autant de large au niveau des épaules – que pour éviter de réveiller tout l’hôpital.