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It leaves room for you and me ft Vox

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Valentino
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# Mer 27 Mar - 10:51


   

   
It leaves room for you and me


Valentino & @Vox
 


Il fallait bien qu'il se l'avoue, Vox lui manquait beaucoup. Pareil avec Velvette, avec elle, c'était différent. La relation que Valentino avait avec Vox était probablement la plus sincère qu'il avait. Il était dans son studio en train de regarder la télé quand il entendit une voix qu'il reconnaissait. Il prêta plus d'attention à ce qui se trouvait à la télé. C'était Vox, enfin, il avait une forme humaine, mais il était certain que dans sa télé se trouvait Vox. Il avait un sourire sincère sur le visage quand il se rendit compte qu'il allait le revoir et pouvoir lui reparler. Les deux avaient une relation pour le moins particulière, mais Valentino appréciait beaucoup Vox. 

Il regardait l'émission en entier avant d'essayer de voir où elle était enregistrée. Valentino regardait toujours d'un coin de l'œil ce qui se passait dans le studio. Il avait réussi à remettre la main sur Angel et c'était quelque chose qui le remplissait de joie et maintenant, il allait pouvoir retrouver Vox. Tout dans sa vie allait pour le mieux. Après quelques heures, il a fini par trouver où est-ce que Vox enregistrait ses émissions. Il se mit en route vers le studio de Vox. Une émotion qu'il n'avait pas l'habitude de ressentir était venue s'installer dans son être, quelque chose de positif.

Valentino était équipé de ses habits habituels, un manteau rouge avec de la fourrure blanche sur le côté, un chapeau aussi rouge que son manteau. Il y avait également en dessous de son manteau une tenue courte noire, c'était presque un une-pièce avec des shorts. Ces chaussures n'étaient pas plates, quand est-ce que c'était la dernière fois qu'il avait mis des chaussures plates ? Il serait incapable de répondre à cette question. Déjà que Valentino était grand, mais il n'en avait rien à faire, que peut-être, il devrait faire en sorte d'être plus petit. 

Val se mit en route vers le studio de Vox. Avant de partir, il lança un regard à ses "employés". Ils savaient exactement ce qu'ils avaient à faire. Il espérait qu'il soit toujours là-bas. Il finit par arriver au studio. Valentino voyait qu'il y avait beaucoup de monde devant le studio. Il voyait bien le succès que Vox avait eu ici et il était très content pour lui. Il essaya de rentrer dans le bâtiment, mais on ne l'y autorisa pas.  "Est-ce que vous savez qui je suis?" Il commençait à être frustré qu'on ne le laisse pas rentrer. Il avait bien évidemment toujours une cigarette allumée qu'il fumait, et cette fumée était toujours rouge et faisait des cœurs. Il n'avait même plus besoin d'y pensé pour qu'elle fasse ça.
 
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# Jeu 28 Mar - 19:20
Vox était… agacé. Pas énervé, non, mais terriblement frustré. D’ailleurs personne, en ce monde, n’avait encore eu le privilège de le voir réellement énervé et il était largement souhaitable pour son entourage direct que tel ne soit pas le cas. Quoi qu’il en soit, pour le moment, Vox avait vu ses nerfs mis à rude épreuve par la petite starlette écervelée qui venait de passer dans son show. Cette stupide créature avait cru bon de tenter de faire des traits d’esprit en se payant sa tête ; pas de chance pour elle, Vox avait bien plus de répartie et ses piques pince-sans-rire avait provoqué moult éclats dans un public entièrement acquis à sa cause. Mais même s’il n’avait eu aucun mal à remporter ce duel qui n’en était pas réellement un, s’il n’avait rien laissé paraître hormis quelques sourires pleins de dents manquant décidément bien trop de pointes, il n’en ressortait pas moins que cet enregistrement avait été pour le démon une mise à l’épreuve certaine de son self-control – qu’il avait, comme toujours, bien sûr, remporté avec brio. Et s’il n’avait pas encore eu le temps d’aller réguler ses humeurs en hurlant dans la loge insonorisée qu’il s’était attribué, il n’en allait pas moins d’un pas on ne peut plus énergique vers la sortie où, il le savait, ne manquerait pas de l’attendre quelques fans.

Qu’il était loin, le temps où il pouvait se permettre de tuer d’un simple signe de la main la première personne qu’il pouvait croiser à défaut de venir à bout de cette starlette impudente ! Une fois de plus, l’enfer lui manquait. Et avec lui, certain de ses habitants.

Un peu plus renfrogné encore, Vox, affublé d'un costume bleu sur mesure mettant parfaitement en avant son corps, plaque pourtant un parfait sourire de circonstance au moment d’ouvrir la porte et de s’apprêter à faire un bain de foule, quand une voix plus que connue interpelle son attention. Et dans un timing parfait, comme s’il répondait à la question qui ne lui était absolument pas adressée, Vox s’exclame, son ton toujours si parfaitement maîtrisé emprunt d’une surprise qu’il ne peut, exceptionnellement, pas caché : « Valentino, très cher ! Je ne m’attendais pas à te voir ici, quel plaisir ! » Dans un geste d’une élégance toute calculée, Vox lui saisit lentement la main pour la porter à ses lèvres, la frôlant à peine, sous les chuchotements surpris des fans venus l’attendre à la sortie des studios. Ne pouvant manquer l’opportunité qui s’offre alors à lui, il ne le lâche pas tout de suite en se redressant et attirant celui qui fait, même sous cette forme humaine, une bonne tête de plus que lui, Vox vient poser ses lèvres sur les siennes, l’entraînant sans lui demander son consentement dans un baiser des plus langoureux.

Autour d’eux, déjà, les chuchotements se changent en exclamations de surprises, entre rires un peu gênés et gloussement amusés, accompagnés, il l’entend bien, de quelques déclenchements d’appareils photos. Voilà qui va être du plus meilleur effet sur son image, particulièrement auprès de ceux l’accusant d’être un réactionnaire manipulant les foules à son profit. Même si c’était exactement, en réalité, ce qu’il était en train de faire.

Vox finit cependant par relâcher Valentino, un sourire toujours aussi grand et peut-être en parti sincère plaqué sur son visage : « Mais entre donc, je te rejoins dans une minute et je te ferai visiter les lieux. » Un dernier coup d’œil et sans prêter un seul regard vers le vigile ayant perdu toute couleur de voir que celui qu’il vient de refouler est invité à entrer par le patron en personne, Vox va saluer la petite foule qui l’attend toujours avec un mot pour les habitués, répondant à quelques questions, acceptant une ou deux photographie, signant quelques autographes. Mais, déjà, impatient et prenant toujours garde à n’en rien laisser paraître, Vox prend congé, saluant la petite foule pour rentrer à l’intérieur. Et alors qu’il rejoint un Valentino auprès de qui attend également son assistante, le sourire de Vox disparaît alors qu’il désigne la porte qui se referme derrière eux : « Lui, dehors. Tu le vire. Immédiatement. » Il ne pouvait pas tuer, non, mais jusqu’à preuve du contraire, il avait encore tout pouvoir sur la vie de ses employés. Et celui-là avait osé se mettre entre lui et Valentino. Même si, au fond, il n’avait fait que son boulot.
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# Mar 2 Avr - 16:36


   

   
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Valentino & @Vox
 


Valentino voyait du coin de l'œil la porte s'ouvrir, dévoilant Vox. Il le regardait et le trouvait toujours aussi beau, encore plus une fois qu'il le voyait en vrai et pas à travers la télé. Il allait dire quelque chose quand la voix de Vox se faisait entendre. Le démon n'arrivait pas à contrôler un sourire, bien loin de celui qu'il avait l'habitude de donner à toutes les autres personnes dans sa vie. Il se reprit très rapidement avant que trop de personnes puissent s'en rendre compte. S'il y avait bien quelque chose que Valentino devait s'avouer, c'était à quel point Vox lui avait manqué. Ce que Vox disait était des mots qu'il appréciait énormément. Par la suite, quand il lui prit la main, Valentino eut à nouveau un sourire apaisant sur ces lèvres. Les personnes qui le connaissaient pourraient bien penser que c'était quelque chose qu'il était incapable de faire. La différence était qu'ils n'étaient pas Vox. Il commençait à dire "Tu m'as manqué, cariño..." avant d'être interrompu par un baiser.

Valentino oubliait qu'il y avait d'autres personnes qui se trouvaient autour d'eux. Pendant que Vox l'embrassait, il répondit bien évidemment à ce baiser. Une de ces mains allait sur la partie inférieure du dos de Vox. Il était probablement la seule personne en qui Valentino avait complètement confiance. Quand Vox arrêta de l'embrasser, il posa délicatement une main sur la joue de Vox et il se rappela à ce moment-là qu'il y avait beaucoup de monde autour d'eux. Il était un réalisateur de film pornographique même dans ce monde-ci et il jouait également dans ces derniers parfois, mais ces derniers temps de moins en moins souvent. Il l'invita à rentrer par la suite. Val disait dans sa voix séductrice. "Ne me fais pas trop attendre."

Il appréciait énormément l'état dans lequel était celui qui ne voulait pas le laisser rentrer. Très peu de personnes en enfer auraient osé le traiter de cette manière. En enfer, il était un overlord, et donc il avait la puissance qui venait avec cette position. Il avait gardé certaines choses, mais ce qui lui manquait le plus, c'était quand même ses ailes et ses phéromones. Tuer des personnes en enfer était tellement plus facile. Ici, il fallait discrètement le faire. Ceux qui connaissent l'ancien papillon de nuit, il était plutôt simple d'imaginer qu'il n'avait pas les mains dénuées de sang depuis qu'il est arrivé ici.

Quand Vox était revenu et qu'il renvoyait celui qui s'était mis entre les deux démons. Un sourire était apparu sur ces lèvres. Le même que tellement de personnes connaissaient, car c'était celui qu'il utilisait quand tout allait bien dans son sens. "Tu sais toujours autant trouver les bons mots." Il regardait Vox dans les yeux et il s'approcha de lui. "On dirait que tu as bien réussi à te reconstruire ici." En s'approchant de Vox, lui l'embrassa à nouveau. Cet homme lui avait beaucoup manqué. Il avait bien retrouvé Angel Dust mais ce n'était pas du tout la même chose que retrouvé Vox.
 
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# Sam 6 Avr - 0:55
Il y a peut-être un peu plus que du calcul dans ses lèvres qui cherchent celles de Valentino. Un peu plus que du contrôle de son image dans ce baiser qui lui est rendu. Il y a peut-être aussi un peu de l’envie – de la véritable envie. De celle qui vous prend dans tous le corps, du plus profond de ses tripes jusqu’aux mains qui se crispent sur le tissu du costume haut-en-couleur de l’ancien papillon de nuit. De celle que les textes divins condamnent – petit rappel que Vox n’est certainement pas devenu un démon majeur en jouant de la flute. Il aime provoquer l’envie, Vox. Il aime la nourrir chez tout un chacun, la provoquer dans l’inconscient, offrir des idéals que personne ne saurait jamais atteindre. Il a moins l’habitude, cependant, de la ressentir, lui. Mais dans ces quelques secondes, dans ce baiser dans lequel il pourrait bien se perdre, elle est bien là, l’envie. De l’avoir à lui. De le posséder. Valentino. A jamais.

Une caresse sur sa joue quand ils se séparent, un regard entendu, un : « Je ne serai pas long » tout juste susurré au moment où Valentino s’écarte et Vox expédie donc un peu plus rapidement que d’habitude la rencontre avec ses fans, s’assurant néanmoins que tous repartent avec l’impression d’avoir vécu un moment privilégié – soigner son image, toujours. Mais aucun des sourires qu’il leur offre ne saurait être plus sincère que celui qui se teinte d’acidité qui vient renaître sur ses lèvres au compliment de Valentino : « Oh, je suppose que tu n’as pas oublié comment c’est, tout ça. VoxTek ne peut se permettre d’avoir dans ses rangs le moindre employé dissident. » Le froid qu’il réserve en moyenne a ses employés n’a plus lieu d’être ici, même si la menace est bien présente pour tous ceux qui pourraient passer à leur portée et notamment pour Esther, son assistante, toujours à leur côté, étouffant comme toujours dans l’œuf toute potentielle velléité de protestation. Il ne pouvait plus tuer aussi facilement, certes. Mais voir le bref et discret mouvement de déglutition naître dans la gorge de ses employés sous la terreur de ses mises en garde était parfois presque aussi plaisant. Jusqu’à présent, la jeune femme effectue parfaitement son travail, mais Vox savait que pour que cela continue, il ne devait jamais lui donner l’impression que la pression sur elle pouvait se relâcher un seul instant.

Déjà, la jeune femme s’éclipse sans un mot, s’empressant d’aller exécuter ses ordres sans même penser à en discuter le moindre bout tandis que Vox répond sans se faire prier à ce nouveau baiser, sa main venant se saisir de la nuque de l’autre homme pour prolonger cet instant à sa guise ; Valentino a beau être plus grand, Vox ne s’est jamais laissé dominé par la taille de qui que ce soit, pas même lui. Et le souffle en viendrait presque à lui manquer, quand il se recule, haussant un sourcil face au constat de son succès – comme s’il pouvait en être autrement : « Evidemment, VoxTek est en train de se hisser dans les hautes sphères de Nowhere. Et toi, depuis combien de temps es-tu ici ? » Il y a, dans cette question anodine, peut-être un fond de reproche qui variera très probablement en fonction de la réponse apportée : combien de temps Valentino a-t-il mis pour se rendre compte de sa présence et combien de temps a-t-il donc mis pour le retrouver ? Vox, lui, était bien trop occupé pour cela, mais il serait fâcheux que son amant ai perdu trop de temps. Car il ne devait rien y avoir de plus important que lui, n’est-ce pas ? Même dans la vie de Valentino, de tous ses vices et de tous ses jouets. Surtout dans la vie de Valentino.

Vox ne laisse pourtant pas flotter dans l’air le moindre doute quant à ses intentions et déjà, sa main se pose sur le bras de l’autre homme, dans une prise toujours si ferme, avant de poursuivre : « Tu me raconteras tout ça dans mon bureau. On y sera bien plus tranquille. Et j’y garde toujours une excellente bouteille de champagne, pour les grandes occasions. » Aucun des employés passant à proximité en cet instant ne saurait deviner toutes les promesses se dissimulant derrière ces quelques mots. Mais Valentino, lui, sait. Et si les réponses qu’il fournira aux questions de Vox lui conviennent, leurs retrouvailles promettront d’être… Inoubliables.
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# Sam 6 Avr - 21:43


   

   
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Valentino & @Vox
 


Bien évidemment, Valentino n'avait pas oublié comment ça fonctionnait. Il appliquait les mêmes règles dans son propre studio, enfin à différents degrés, car certaines personnes ne pouvaient pas simplement quitter ou alors, ils quittaient le monde des vivants également. "Bien sûr que je n'ai pas oublié comment ça fonctionnait." L'assistante de Vox était encore là, mais il ne se gênait pas de mettre une main sur Vox. "Quand ils sont bien obéissants et sinon il y a toujours des moyens pour qu'ils le deviennent." L'éthique avec des employés ? C'est quoi ça se mange ? Valentino ne respectait absolument pas ses employés. Il faisait bien totalement référence à quand il donne de la drogue à ces employés, souvent à leur insu pour les rendre beaucoup plus dociles. 

Quand l'assistante de Vox avait disparu, c'était à ce moment-là que Valentino se rendait encore plus compte à quel point Vox lui avait manqué, comme si livres de croquis n'étaient pas suffisants, mais cela resterait juste pour lui, à moins que Vox aille envie de les voir. Quand Vox lui parla du fait qu'il avait réussi à grimper dans les sphères de Nowhere. Puis était venu la question de combien de temps était-il ici, mentir ne serait très certainement pas une très bonne idée. "Ça fait quelques mois que je suis ici, au début je vous avais cherché toi et Velvette et toi ça fait un moment que tu es là?" Il n'allait pas préciser qu'il avait aussi cherché Angel Dust, car cette petite catin lui appartenait. Bon, après quand Valentino a retrouvé Angel, s'était par accident. "J'ai reconstruit un studio de film, mais bon, comme on est plus en enfer, les gens ont plus de peine à avouer leurs pulsions en public." La consommation de film porno était toujours là-même, il le voyait au chiffre, mais certains avaient bien plus de peine à reconnaitre qu'ils aimaient regarder du porno.

Quand Vox posa une main sur lui, il ferma pendant un court instant les yeux. La promesse derrière cet acte ne pouvait pas être plus précise. Le désir, il le ressentait au plus profond de son être. Il désirait le toucher de l'ancienne télévision. Valentino acquiesçait quand Vox parlait du fait qu'ils discuteraient plus longuement quand ils ne seront que les deux dans son bureau. Il savait exactement ce qu'il l'attendait. Enfin, il le pensait. Ce n'était pas comme si Valentino était le plus brillant de leur petit groupe, et donc n'avait aucune idée qu'éventuellement il ne lui avait pas donné précédemment les réponses qu'il voulait entendre. "Je te suis." Il disait ça sur une des voix les plus séductrices et qui démontrait bien son envie de continuer ses retrouvailles plus à l'abri des regards. Surtout, il lui souriait, d'une manière qui lui montrait à quel point il avait faim de lui.
 
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# Mar 9 Avr - 15:54
Vox savait toujours garder les apparences face au monde et savait conserver une attitude spécifique en toutes circonstances. Face aux caméras, il était sérieux et même concerné bien souvent par les sujets évoqués ; il savait donner à son public ce que ce dernier désirait pour entrer dans ses bonnes grâces. Dès qu’elles se coupaient, cependant, il devenait plus dur, exigeant, intransigeant, même, n’acceptant aucune erreur, aucun faux-pas – et il s’accordait le droit d’être seul juge de ce qui était acceptable ou non, évidemment. Et puis il y avait son vrai visage. Celui que si peu avaient eu le privilège de voir. Celui qui révélait sa véritable nature, manipulatrice, bien souvent cruelle. Celui qu’il n’avait jamais laissé échapper contre quiconque dans ce monde. Jusqu’à ce qu’il retrouve Valentino. Parce que c’était Valentino. Et qu’il n’y avait probablement que son approbation qui pouvait faire naître sur les lèvres de Vox un sourire reflétant un tel sadisme qu’il aurait pu, à lui seul, terrifier les plus vaillant de ses admirateurs. Il n’y avait personne, dans leurs Enfers comme dans ce monde, qui pourrait mieux le comprendre que cet homme. « C’est exactement ça, très cher. Un empire ne saurait fonctionner sans une obéissance parfaite. » Il sent plus qu’il ne le voit le frisson qui parcours Esther à cette affirmation, tant son attention est concentrée sur Valentino. Mais la jeune femme, après tout, sait à quoi s’attendre et n’a jamais discuté aucun de ses ordres – elle ne serait, de toute façon, plus là, si tel était le cas. Elle est, au fond, l’illustration parfaite de leurs propos, tant et si bien que Vox remarque à peine son départ quand elle va mettre à exécution ses ordres. Elle ne fait que ce qui doit être fait. Le contraire serait bien plus remarquable - et pas vraiment dans le bon sens du terme.

Sauf que cette joie, si étrange à ressentir soit-elle, si tordue ait-elle pu être, est aussi vive que sa surprise de revoir Valentino, elle se retrouve vite quelque peu brouillée par les réponses que l’autre homme lui apporte. Ses sourcils se haussent dans une expression dubitative, son regard se fait plus suspicieux alors qu’il relève, d’une voix déjà plus tendue : « Au début, seulement ? » Le fait que Vox attende une réponse plus précise ne laisse aucun doute. Car Vox n’aime pas les approximations, encore moins quand celles-ci le concernent directement et ça, Valentino le sait, n'est-ce pas ? Il est inenvisageable qu’il ait pu déjà l’oublier. C’est probablement pour cela que son ton est plus froid, plus distant quand il répond : « Je suis là depuis près de deux ans et j’ai été particulièrement occupé avec la mise en place de VoxTek. Un studio, dis-tu ? Effectivement, cela ne doit pas être aussi simple, d’autant plus sans ton acteur vedette. Mais tu pourrais te joindre à VoxTek, je suis sûr qu’on lui trouverait une place… de choix. » Et ainsi, ils pourraient commencer à remonter un peu de l’empire qu’ils avaient si brillamment établi en enfer, s’épanouissant au sein même de ConneXion, même s’ils rencontraient quelques difficultés supplémentaires dans ce monde à la morale bien trop restrictive à son goût. Mais malgré la frustration que cela représentait, Vox préférait voir ce fait comme un piquant supplémentaire, un obstacle qu’il se ferait un plaisir de franchir. Et d’autant plus s’il le faisait aux côtés de Valentino et de son studio de films… disons, pour adultes avertis.

Mais Valentino reste Valentino et si ses réponses ont provoqué chez Vox une certaine irritation, s’il compte bien éclaircir le plus rapidement possible les quelques zones obscures qu’il plane encore sur ses réponses, il ne peut retenir cet attrait que l’autre provoque chez lui de par sa simple présence. Car si Vox se sait capable d’amener l’autre homme exactement là où il le veut, il ne peut nier – enfin, si, il le ferait probablement jusqu’à sa mort, même si les faits sont là - le pouvoir que l’autre peut également avoir sur lui. Alors oui, il fera en sorte qu’il regrette de ne pas l’avoir cherché plus encore et surtout plus tôt et il se pliera, comme toujours, à la volonté de Vox, sans même s’en apercevoir – du moins, c’est ce dont est persuadé l’ancien démon de la télévision. Mais il a aussi terriblement envie de se retrouver en tête à tête avec l’autre homme, d’autant plus quand il ne se fait pas prier pour le charmer ainsi. Juste de quelques mots, juste d’une suggestion tout juste esquissée. Qui suffit pour l’entraîner fermement au travers de couloirs interminables et autres ascenseurs en silence – ils parleront après, jusqu’à une porte plus imposante que toutes les autres. Son bureau, en haut du building où se trouvent les studios et dont toute une partie laisse entrée la lumière d’un soleil rasant. L’un de ses fiefs, l’une de ses antres. « Bienvenue chez moi, Valentino. » Dit-il d’une voix aussi mielleuse que dur, où percent autant de promesses que de menaces quant à la suite des événements. Et aussitôt qu’ils sont tous deux rentrés, la porte est fermée, verrouillée, même, afin d’être certain de ne pas être déranger. Vox ne supporte déjà pas cela en temps normal, mais il en est encore moins question maintenant. Quoi qu’il se passe désormais dans ce bureau, ce sera uniquement entre lui et Valentino.
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# Mer 10 Avr - 13:35


   

   
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Valentino avait un sourire très sadique sur ces lèvres quand Vox parlait de l'obéissance parfaite. Il ne pouvait qu'approuver cette façon de penser comme c'était exactement comme cela qu'il fonctionnait et voir le pouvoir que Vox avait sur ses employés était tellement jouissif pour Valentino, enfin en ce moment, c'était surtout l'assistante qui se trouvait à côté d'eux. 

Quand ils n'étaient que les deux et que Vox lui demanda "au début" par rapport à combien de temps, il l'a cherché. Valentino n'était pas sûr s'il devait lui dire combien de temps, il l'avait réellement cherché et notamment comment il s'était senti alors qu'il était seul sans lui et sans Velvette. La solitude après avoir passé des décennies à leurs côtés avait été très présente et n'avait pas été facile à combler. Il n'allait pas en parler. "Je me suis retrouvé dans ce monde seul, je vous ai cherché toi et Velvette mais après quelques semaines, je me suis construit quelque chose ici et ce que je suis toujours aussi bon ce sont les pornos." Ensuite Vox parla de ce que lui avait fait depuis qu'il était ici. Il pouvait bien voir le succès que ce dernier avait eu depuis qu'il était ici, même si pour une raison ou une autre lui était passé à côté. Après, ça a toujours été le domaine de Vox plutôt que le sien, la télévision. Vox parla d'Angel, il l'avait retrouvé et l'avait mis très rapidement au travail. Valentino savait comment Vox percevait Angel Dust. Puis était venu la proposition de partenariat. "Bien évidemment que j'ai envie de me joindre à toi. C'est comme ça que l'on fonctionne le mieux." Il hésitait énormément à le corriger sur Angel mais Vox a toujours été une des personnes avec qui il était sincère et il n'avait pas envie de changer cela. "À propos d'Angel Dust, je l'ai retrouvé. That slippery little twink forgot about ME." Ça l'énervait toujours qu'Angel aille oublier son existence, mais après ça il se tue sur le sujet d'Angel. Sachant très bien que cette réponse n'allait pas plair à Vox. Valentino était juste content d'être à nouveau à ces côtés. Qu'ils puissent reconstruire ce qu'ils avaient en enfer.

Le moment était pour les deux et c'était quelque chose pour laquelle il se réjouissait le plus. Avoir Vox que pour lui, c'était ça qui lui importait. Valentino marchait avec Vox en silence jusqu'à son bureau. Il y avait une grande distance à traverser. Il ne s'est jamais vraiment rendu compte que Vox le manipulait. Après tout, en enfer, Valentino étant un papillon de nuit et Vox une télévision enfin sa tête, il pouvait capter son attention très rapidement. Les papillons de nuit étant toujours très attirés par la lumière. "C'est beau chez toi. Tout comme toi Voxy" Ils n'étaient que les deux dans cette pièce et l'envie de le toucher était bien plus présente. Valentino prit délicatement le visage de Vox entre ses mains et il l'embrassa à nouveau. Une de ses mains glissa sur les fesses de Vox. Ne cachant absolument pas ses intentions à Vox, son envie d'aller plus loin.  
 
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# Lun 15 Avr - 22:17
L’Enfer. S’il y avait un lieu qui portait bien son nom, c’était ce dernier. La vie, si l’on pouvait s’exprimer ainsi, était dure, plus dure que n’importe où ailleurs. Et si Vox avait été impitoyable de son vivant, s’il n’avait jamais reculé devant la moindre cruauté, ses mauvaises habitudes s’étaient bien plus empirées encore après sa mort. Parce que l’Enfer ne méritait aucun faux pas. Parce que l’Enfer ne pardonnait aucune faiblesse. Et qu’une fois arrivé au sommet d’une gloire à son sens amplement méritée, il avait pris un plaisir intense à pouvoir être l’incarnation même de cette intransigeance. Et à parvenir, quand la situation le nécessitait, à faire passer toute décision de sa part pour des compromis. Car l’important n’était pas toujours de s’imposer. L’important c’était la domination. C’était le pouvoir. Et il refusait d’en laisser la moindre once à quiconque d’autre. Y compris à Valentino.

C’était bien pour cela qu’il aurait pu, éventuellement, passer sur les quelques semaines évoquées par Valentino. Peut-être aurait-il pu se contenter à ce sujet de quelques piques bien senties, assez subtiles pour titiller l’égo de l’ancien papillon de nuit, sans pour autant se montrer trop blessant. Après tout, ce qui était fait était fait. Et s’il était hors de question que cela ne se reproduise jamais, ce que Vox comptait bien lui faire comprendre, il aurait pu passer sur cela. Presque, donc. Presque, oui, si alors qu’il ne l’avait pas cherché que quelques semaines à peine, s’il n’avait pas par la suite cessé ces mêmes recherches pour monter sa propre boîte de production indépendamment de VoxTek, il n’avait pas remis la main sur Angel Dust. Et probablement profiter de ses services avant même de se décider à venir le retrouver, lui. Vox. Alors oui, il y avait des choses sur lesquelles Vox était capable d’atténuer son influence, de faire l’un de ces fameux compromis. Mais perdre son influence sur Valentino au profit de cette putain d’Angel Dust, c’était tout bonnement hors de question. « Tu l’as… retrouvé ? » La voix est froide, cette fois, clairement menaçante. Et si Valentino ne l’entendait pas ainsi, il ne tarderait pas à le comprendre.

Car tout autre sujet est désormais nul et caduque dans l’esprit de Vox, même s’il approuve machinalement le fait qu’ils n’étaient jamais aussi bon qu’en s’associant – enfin, surtout Valentino, qui profitait clairement de son expérience et de son excellente gestion des affaires. Mais ce sentiment profond de colère qui venait de s’éveiller au fin fond de ses entrailles ne lui permettait pas pour le moment de voir autre chose. Une rage pure, entière, qui n’était dirigé contre qu’une seule et unique personne : Angel Dust. Vox n’avait jamais apprécié Angel – il appréciait, il faut dire, fort peu de monde – mais il s’était toujours amusé de voir Valentino s’amuser avec ce petit démon. Probablement même aurait-il pu apprécier – et, l’espace de quelques instants, c’est même le cas – de voir Valentino perdre son calme sur le fait que l’autre ait pu oublier et d’imaginer ce qu’il avait pu subir en conséquence. Mais ce n’était amusant que tant qu’Angel ne prenait pas le pas dans l’esprit de Val sur la présence de Vox lui-même. Et visiblement, c’était bien ce qu’il s’était passé ici, à Nowhere. Pendant de longues semaines, probablement même de longs mois. Et il était bien hors de question que cela continue maintenant.

Le baiser que Valentino lui donne une fois qu’ils se retrouvent seuls éloigne pourtant l’espace de quelques instants ces sensations qui semblent proche de le dévorer de l’intérieur. Le compliment, si évident soit-il entre eux, arrivait malgré tout et presque contre son gré à faire naître en lui une certaine chaleur. Et que dire de celle des lèvres que son amant pressait contre les siennes. Et que dire de cette main qui descendait toujours plus… Un instant, le souffle de Vox se perd totalement dans ce baiser. Un instant, il voudrait pouvoir ne faire plus qu’un avec son corps tout entier, comme il sent cette envie-là chez Valentino. Un instant, il se dit qu’il pourrait passer sur le reste pour le faire sien, là, tout de suite. Dans l’instant.

Mais ce serait oublié l’affront qu’il vient de lui faire. Ce serait oublié que boue encore en lui cette cuisante humiliation. Ce serait oublié à quel point il a envie, besoin de lui faire payer. Tout de suite. Maintenant. Et d’un geste sec, Vox éloigne cette main bien trop tentatrice, s’écartant pour retrouver son propre espace vital : « Je ne suis pas sûr d’avoir envie que tu me touches avec ces mains-là, cariño. J’ai l’impression que tu les as largement salies depuis ton arrivée ici. » Vox ne faisait emploi de la langue natale de Valentino qu’en deux occasions : quand il était en colère ou, au contraire, quand toutes barrières tombaient peu à peu, ne laissant entre eux que le plus intime de leur relation. Ils étaient malheureusement ici dans la première configuration alors que l’ancien démon de la télévision le toisait du regard, malgré sa taille toujours plus petite que celle de son amant. Et l’on n’aurait pu trouver cela ironique, que Vox parle de mains sales, lui qui entretenait une relation avec le plus grand producteur de pornographie de leur monde, d’autant plus alors que les siennes tout autant que celles de Valentino étaient pleines de sang. Mais c’était différent. Val avait trahit. Val avait préféré sa putain à lui. Et il allait largement devoir se le faire pardonner.
Valentino
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# Mar 16 Avr - 13:07


   

   
It leaves room for you and me


Valentino & @Vox
 


Peut-être que mentionner le fait qu'il avait retrouvé Angel n'avait pas été la meilleure idée qu'il ait eue, mais quelle autre option avait-il ? Le plus simple a toujours été de lui dire les choses en face et sans prendre de détour. Il allait toutefois devoir se justifier en entendant le ton qu'utilisait Vox pour lui répondre. "Oui, je l'ai retrouvé il y a peut-être un peu plus d'une semaine. Tu penses bien qu'après lui être tombé dessus, je ne pouvais juste faire comme si ce n'était pas arrivé." Il regardait Vox qui ne semblait pas très ravi par les mots sortant de la bouche de Valentino. L'ancien papillon de nuit n'allait très certainement pas parler de l'état dans lequel il était alors qu'il était seul, sans Vox et sans Velvette. Il n'allait très certainement pas lui dire dans quel genre d'établissement il avait retrouvé Angel et bon après, il était tombé sur Angel par accident. 

Quand ils n'étaient que les deux en train de s'embrasser dans le bureau de Vox, il avait envie que ce moment ne s'arrête pas. Il voulait pouvoir profiter de ce qui se passait pendant autant de temps que c'était possible. Ce qu'il ne se rendait pas compte, c'est dans quel état était Vox après qu'il avait parlé d'Angel. 

Quand Vox avait interrompu le baiser et cette envie d'aller plus loin, Valentino le regardait de manière très stupéfaite.  C'était là qu'il entendit Vox parler en espagnol. S'il y avait bien quelque chose qu'il avait appris à travers toutes ces années aux côtés de Vox, c'est que quand il lui parlait en espagnol. Ce n'était pas souvent une bonne chose, enfin dans des situations comme celle dans laquelle il se trouvait. Valentino débattait intérieurement si la meilleure approche pour résoudre cette situation et de retourner où il en était auparavant, car il ne voulait rien d'autre que de se perdre en Vox. Il lui avait tellement manqué. Sa famille des enfers lui avait tellement manqué. Val avait besoin de Vox, mais il ne l'avouerait très certainement jamais à quel point il avait besoin de Vox et de Velvette. "Et qu'est-ce que tu comptes faire de ça papito?" Il disait ça sur une voix très suave et séductrice. C'était bien Vox qui l'avait aidé à se mettre en place en enfer et il savait exactement dans quel genre de business Val trempait. Il jouait lui-même dans certains de ces films et c'était également le cas en enfer également. En ce moment précis, l'esprit de Val était vraiment à mille lieues de se douter de ce qui se passait dans l'esprit de Vox. Il était un peu frustré que Vox l'aille stopper dans son élan, mais bon, c'était peut-être à ça qu'il voulait jouer. "Laisse-moi t'aider à oublier tout tes problèmes." Il tenta à nouveau de s'approcher de lui et de l'embrasser.
 
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# Dim 21 Avr - 16:51
Le pire, dans les explications de Valentino, c’est qu’elles étaient d’une logique légitime et qu’en temps normal, Vox n’aurait pu que les approuver. Après tout, on ne laissait pas s’échapper une âme que l’on avait sous contrat, quelle qu’en soit les conditions. Moins encore quand l’âme en question revêtait une telle importance que celle d’Angel Dust pour Valentino. Mais c’était justement bien là qu’était le problème, pour Vox. Angel ne devait rester qu’un divertissement. Et l’ancien démon ne saurait accepter qu’il revête désormais plus d’importance que lui dans les pensées de Valentino. S’il avait eu les idées plus claires, peut-être Vox aurait-il noté que son amant n’avait retrouvé l’autre que depuis une semaine à peine – et que Valentino était normalement assez censé et bien loin de se douter de la colère qui couvait actuellement dans les veines de Vox pour ne pas lui mentir à ce sujet. Mais ça n’avait pas d’importance face au feu destructeur qui s’est allumé dans le cœur de Vox. Ca n’en avait aucune. Parce qu’une semaine, c’était déjà sept jours de trop. Et qu’il ne pouvait laisser passer cela aussi facilement.

D’un geste sec, il assène une tape sur les mains de Valentino quand celui-ci fait mine de s’approcher de nouveau ; pas assez pour lui faire mal, évidemment, mais assez pour les chasser de son corps. Son amant, pourtant, ne lui facilite pas la tâche et entendre sa voix enjôleuse, savourer les notes de son accent au surnom qui revient si facilement lui donne envie, l’espace d’un instant, de céder à ses avances. De venir se fondre dans ce baiser. De prendre son dû en même temps que ses lèvres. De le soumettre à ses désirs, comme à sa volonté. De le voir se tordre sous lui, en proie à un plaisir dont il serait la seule source et le seul pilier. Et le tout, bien sûr, avec son consentement ; ce dont il ne se préoccupait, bien sûr, pour personne d’autre. Mais c’était Valentino. Et c’était bien pour cela qu’il avait droit à un traitement spécial. Et pour cela aussi qu’il ne saurait tolérer un tel écart dans ces accords tacites qui composaient leurs relations. Enfin, des accords tacites qui n’étaient visiblement pas compris pour tout le monde, puisque Valentino ne semblait même pas se rendre compte de ses propres erreurs.

« Il me semble t’avoir dit de ne pas me toucher avec tes mains sales. » Sa voix est plus basse, plus froide, de ce ton qu’il n’emploie que si rarement avec Valentino : parce qu’il n’en a pas besoin, d’habitude. Parce qu’il n’en a pas envie non plus. Mais il ne saurait y avoir pire chez Vox que son égo blessé, d’autant plus quand s’y mêlent quelques sentiments. Des sentiments ? Quels sentiments ? Il n’a aucun sentiment. Alors comment expliquer ce feu si douloureux, dévastateur, qui brûlait actuellement en lui ?

« Tu n’as qu’à retourner avec ton cher Angel Dust, puisqu’il semble te suffire et te satisfaire. » Il avait déjà pu le traiter de tous les noms, le jouet de Valentino, mais jamais son nom même n’avait eu autant l’air d’une insulte dans la bouche du PDG de VoxTek. Jamais non plus il n’avait aussi clairement marqué sa désapprobation et, au travers, cette propriété qu’il entendait exercer sur son associé. Parce qu’il n’en avait jamais eu besoin. Parce qu’il ne l’avait jamais perdu pendant des mois et des mois pour le retrouver dans ce monde, presque par hasard. Parce que quoi qu’il arrive, Valentino était à lui. Et qu’il paierait cher toute tentative de l’autre de l’oublier.
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