GénéralesGif : Oeuvre d'origine : Fullmetal Alchemist (anime 2003) Avatar : Dylan Sprouse Crédits : bambieyestuff (tumblr) Messages : 19 Date d'inscription : 23/06/2023 Âge : 20 ans Quartier : The Juggernaut Situation amoureuse : célibataire, pas vraiment intéressé par tout ça, la tête dans les bouquins probablement à jamais Métier : étudiant en double cursus physique et mécanique, apprenti dans l'atelier d'un mécanicien arrivé d'Amestris tout comme lui Type : humain aux capacités alchimiques, deux membres mécaniques Particularités & Pouvoirs : Petit génie, il apprend très vite et a une capacité de travail et de concentration qui en feraient pâlir plus d'un. Bras droit et jambe gauche arrachés, ils sont en temps normal remplacés par des membres de métal - plus communément appelés automails - qui fonctionnent exactement comme les originaux. La disparition des premiers et la greffe des seconds a laissé d’énormes cicatrices sur sa chair qui ne disparaîtraient pas même s’il retrouvait l’état originel de son corps. Ses yeux sont dorés, couleur plus qu’étrange héritée de son géniteur originaire de Xerxès. On le trouve souvent petit, ce qui l’a complexé pendant des années. Il se met cependant à grandir, maintenant que son frère a retrouvé son corps et que leurs âmes et corps ne sont plus liés. Peu importe les vêtements qu’il porte, une chaîne pend toujours de sa ceinture, dissimulant une montre à gousset dans sa poche, signe tangible de son passé et de ses erreurs. C’est un excellent combattant à main nue, il s’est entraîné durant de longs mois auprès d’un maître du nom d’Izumi Curtis, qui leur a appris – à Al et lui – non seulement l’alchimie mais également le renforcement du corps, passant par les combats. CARACTÈRE
Il aurait dû se douter que tout ça ne le mènerait à rien. Quand il avait appris du mécanicien que du métal d’Amestris transiterait apparemment au Nexus, il n’avait pas perdu une seconde. Il s’était mis en route aussitôt, ne désirant pas laisser passer trop de temps, ou cette occasion. S’il arrivait à trouver quelque chose qui venait de chez lui, peut-être qu’il arriverait à comprendre comment c’était arrivé ici... Et comment faire le chemin inverse. Il n’avait pas abandonné son idée de retourner chez lui, bien loin de là. Il savait que c’était possible, qu’une solution finirait par s’offrir à lui. Hors de question de rester là à rien faire, pendant que quelque part, son frère se retrouvait seul. Être avec Alphonse, c’était tout ce qu’il voulait. Chaque jour passé loin de son cadet était plus difficile que le précédent. Ne plus l’entendre lui raconter tout et n’importe quoi, ne plus avoir son soutien indéfectible, ne plus être capable de se confier à lui... Même ses habitudes de récupérer tous les chats errants du quartier lui manquait à un point phénoménal. C’était son petit frère, celui qu’il devait protéger jusqu’au bout, pour qui il était prêt à aller au bout de tous les mondes qui se mettraient en travers de sa route. Sauf que la piste n’avait été qu’une énième déception et surtout une immense perte de temps. Tout ça lui rappelait bien trop les mois et années passés à traquer la pierre philosophale sans aucun résultat. Chaque déception avait entamé un peu plus son moral, mais Al avait été là pour l’aider à surmonter tout ça, pour l’aider à ne pas se morfondre et à laisser aller les pensées sombres. Ici, Al n’était pas là, et il devait gérer tout ça seul. Il n’aimait pas ça, ça le foutait en rogne. Après avoir claqué la porte du magasin qu’on lui avait indiqué comme vendant le fameux métal, il s’était remis en route, agacé. Puisqu’il avait perdu un temps infini à venir ici plutôt qu’à étudier, il sortit un livre et se mit à lire en marchant, histoire d’arrêter cette perte de temps complètement inutile. Mais alors qu’il avançait, il percuta soudain quelqu’un, qui était arrivé en courant, et le volume tomba au sol, s’écrasant dans une flaque d’eau. Aussitôt, la colère sourde qui grondait déjà en lui remonta à la surface.
« Non mais ça va pas ? T’es au courant qu’il faut regarder devant quand on court ? Ça évite d’être un énorme abruti et de faire chier les gens comme tu viens si bien de le faire ! Sérieux, tu te crois tout seul ? Parce que tu l’es pas ! Abruti. »
Mâchoire serrée, il lança un regard assassin à l’autre homme, tandis qu’il glissait son pied sous le livre pour l’envoyer dans les airs, le récupérant sans bouger le haut de son corps. Il était complètement trempé, mais Ed ne s’en faisait pas vraiment. Une petite transmutation et il serait comme neuf. Ça ne changeait rien au fait qu’il était énervé par la situation – même si la déception de n’avoir rien trouvé le mettant sur la piste d’un potentiel retour à la maison avait largement impacté son humeur avant même de croiser la route de l’autre.
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Keigo Takami
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GénéralesGif : Oeuvre d'origine : My Hero Academia. Avatar : Suda Masaki. Crédits : Endeavor-san, Ichi, hokusu, reehlia, queenrojpag. Messages : 131 Date d'inscription : 16/06/2023 Âge : 26 ans. Quartier : Nexus. Situation amoureuse : Eh, c'est privé ça. Métier : Héros professionel. Type : Humain doté d'un alter. Particularités & Pouvoirs : Fierce Wings : vol à grande vitesse, contrôle télépathique sur les plumes qui constituent ses ailes (peuvent être utilisées comme projectiles, changer de consistance). Echolocalisation par vibrations de l'air, écoute à distance.
Septième intervention de la journée, l'oiseau tire sur des ailes encore convalescentes mais il ne connait pas de temps de pause. Depuis son entraînement extensif et ses années précoces de service, Hawks ne s'est jamais arrêté bien qu'il n'en donne pas l'air, cultivant la nonchalance devant l'audimat. Son plumage écarlate n'est plus aussi mobile, il s'en rend compte dès le premier virage au ras de la cime d'un immeuble. Dans son univers, il aurait pu compter sur des plumes synthétiques pour se refaire mais, ici, il n'a pas encore trouvé de quoi faire l'affaire. La balle anti-alter qui l'a fauché lors d'une opération, si elle avait un effet temporaire, engourdit d'ailleurs encore ses mouvements - heureusement ses réflexes sont bien dressés et peuvent partiellement compenser la casse. Il abat son aile de quelques degrés et d'un battement vif se repositionne pour capter le bon angle de chute et partir en piquée. Un incendie s'est déclaré à la jonction entre la quatrième et St James street, les pompiers ont été appelés mais la structure du bâtiment menace de s'effondrer sur ses occupants - Hawks fuse à plus de trois cent kilomètres heure, laissant une traînée carmine dans son sillage. En quelques secondes, il se poste en vol stationnaire au-dessus de la fournaise - la moitié de son plumage se détache de ses ailes et il envoie ses plumes en reconnaissance pour écholocaliser les civils. Respirations, frictions dans l'air, il ressent tout. Mais le feu est sa faiblesse, ses plumes brûlent trop vite, il ne peut inspecter les lieux grâce à elles qu'en jouant sur sa vitesse et en slalomant entre les zones où le feu est déjà nourri. Il lui faut moins d'une minute pour dénombrer les civils et quelques dixièmes de seconde pour envoyer ses plumes les chercher, une seule d'entre elles peut porter une victime si elle est bien saisie. Hawks synchronise son souffle aux rythmes cardiaques qu'il ressent, il soulève et emporte dans les airs les captifs. Il amortit leur atterrissage et récupère chaque plume ayant fait son usage pour remplumer ses ailes. Le rapace priorise les zones qui seront englouties par les flammes en premier. Il se rend compte qu'il ne pourra pas atteindre un civil à distance, car celui-ci est enclavé entre des éboulis et un mur de flammes qui balaierait ses plumes. Hawks positionne ses ailes autour de lui, en égides, et tourbillonne sur lui-même tout en s'élançant à vitesse de pointe - il parvient à dissiper le feu, à se frayer un passage, au prix de plusieurs plumes qui ruissellent, carbonisées. Il doit abandonner son blouson d'aviateur qui s'embrase. Il retrouve la victime grâce aux pulsations de son cœur, il charge l'enfant dans ses bras et dévale les escaliers encore praticables. C'est à coups de pied qu'il dégonde une porte pour finalement trouver la sortie, avant que l'effondrement n'ait lieu. Les civils sont pris en charge. -------
C'est rare qu'il soit pied à terre. Il est complètement vanné et il a perdu trop de plumes, celles-ci sont réparties inégalement : l'aile droite est beaucoup plus fournie que la gauche. Pour ne rien gâcher la pluie a commencé à tomber à verse. La musique rugit furieusement sous son casque, les basses cognent dans sa poitrine. L'oiseau a pourtant la flemme au teint, ses lèvres prises dans une grimace contrariée mordent son gant usé. Sa main nue pianote contre son écran de portable à une vitesse honorable, oublie la ponctuation et bazarde des smileys un peu rigolos. Hawks est enseveli sous une masse de SMS. Son Agence n'arrête jamais, elle non plus, ses activités. Un café glacé, c'est tout ce qu'il demande actuellement. Le rapace aurait peut-être dû regarder devant lui plutôt que d'envoyer une énième recommandation à l'agent Aquato. En l'espace d'une seconde d'inattention il percute un jeune homme qui le... houspille sacrément. L'oiseau dégaine aussitôt un sourire mollasson et se frotte l'arrière du crâne. "Désolé, désolé." Piaille t-il en rayonnant peut-être un peu trop pour ne pas irriter davantage son interlocuteur. "Sacrée tirade !" Il se moque peut-être un peu. "J'ai l'impression de ne pas être le seul à passer une mauvaise journée." Qu'il ajoute avec une forme d'indulgence. "Moi c'est Hawks et toi, tu es ?" énervé, ça c'est clair. Il l'observe un peu plus sérieusement et constate que l'autre homme est absolument détrempé - cela ajouté à sa colère un tantinet disproportionnée, le volatile se demande si le problème n'est pas plus profond. C'est son boulot de héros de ne laisser personne dans le besoin. "J'allais me prendre un kawa. T'en voudrais pas un ? "
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Hawks.
I'm optimistic to a fault.
Edward Elric
✦ Guardians
GénéralesGif : Oeuvre d'origine : Fullmetal Alchemist (anime 2003) Avatar : Dylan Sprouse Crédits : bambieyestuff (tumblr) Messages : 19 Date d'inscription : 23/06/2023 Âge : 20 ans Quartier : The Juggernaut Situation amoureuse : célibataire, pas vraiment intéressé par tout ça, la tête dans les bouquins probablement à jamais Métier : étudiant en double cursus physique et mécanique, apprenti dans l'atelier d'un mécanicien arrivé d'Amestris tout comme lui Type : humain aux capacités alchimiques, deux membres mécaniques Particularités & Pouvoirs : Petit génie, il apprend très vite et a une capacité de travail et de concentration qui en feraient pâlir plus d'un. Bras droit et jambe gauche arrachés, ils sont en temps normal remplacés par des membres de métal - plus communément appelés automails - qui fonctionnent exactement comme les originaux. La disparition des premiers et la greffe des seconds a laissé d’énormes cicatrices sur sa chair qui ne disparaîtraient pas même s’il retrouvait l’état originel de son corps. Ses yeux sont dorés, couleur plus qu’étrange héritée de son géniteur originaire de Xerxès. On le trouve souvent petit, ce qui l’a complexé pendant des années. Il se met cependant à grandir, maintenant que son frère a retrouvé son corps et que leurs âmes et corps ne sont plus liés. Peu importe les vêtements qu’il porte, une chaîne pend toujours de sa ceinture, dissimulant une montre à gousset dans sa poche, signe tangible de son passé et de ses erreurs. C’est un excellent combattant à main nue, il s’est entraîné durant de longs mois auprès d’un maître du nom d’Izumi Curtis, qui leur a appris – à Al et lui – non seulement l’alchimie mais également le renforcement du corps, passant par les combats. CARACTÈRE
Ce que ça pouvait le soûler ! Déjà que la journée ne se passait pas comme prévu, si en plus tous les abrutis de la ville s’y mettaient pour lui pourir la vie, il allait pas s’en sortir. Il avait remarqué les ailes mal en point de celui qui l’avait bousculé sans en être réellement choqué – parce qu’au fond plus rien ne le choquait – et était de toute façon trop énervé contre lui pour que ça ait la moindre putain d’importance. Il s’excusait mais continuait de sourire comme un con et ça, Ed, ça l’agaçait encore plus. Il aimait pas ça, les gens qui avaient l’air trop heureux, ça cachait toujours un truc et il était bien placé pour le savoir. Il grogna à l’évocation de la journée qu’il passait, détournant le regard.
« Ça t’regarde pas si ma journée est bonne ou pas. »
Il l’aurait bien insulté en guise de ponctuation, mais Al l’aurait clairement engueulé s’il était là, alors tant pis pour cette fois. Il posa à nouveau les yeux sur l’autre en l’entendant se présenter et haussa un sourcil peu impressionné. Hawks. C’était quoi comme genre de nom, ça ? Il le regarda de haut en bas avant de faire claquer sa langue contre son palais.
« Conscient de mon environnement. »
C’était presque risible, tant il l’était, d’ailleurs. Il était capable de lire en pleine rue sans percuter personne, d’esquiver quiconque arrivait dans sa direction et de ne globalement jamais être déséquilibré. Sauf quand un abruti sans vergogne débarquait de nulle part pour le percuter de plein fouet. Il soupira avant de reprendre la parole, bon gré mal gré.
« Ed. »
Pas question de donner plus d’informations, ça le regardait pas, le pigeon déplumé. Ed fronça les sourcils en entendant la question qui suivit, cette fois perdu.
« Un quoi ? »
Il avait bien remarqué – notamment à l’atelier – que certaines personnes étaient loin de parler comme lui. C’était le désavantage certain de ce monde fait de tout un tas d’autres mondes : les gens ne se comprenaient pas forcément. Bien évidemment, il y avait plein d’autres problèmes avec cette ville – trop pour les lister – mais au moins ici personne pour tuer des milliers de gens et en faire une pierre pour s’accorder l’immortalité. Au fond, l’atmosphère était même plutôt paisible, quand on la comparait avec Amestris et ses guerres éternelles. Le problème de vivre dans un monde où les militaires avaient la mainmise sur le contrôle du pays.
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Il aurait dû se douter que tout ça ne le mènerait à rien. Quand il avait appris du mécanicien que du métal d’Amestris transiterait apparemment au Nexus, il n’avait pas perdu une seconde. Il s’était mis en route aussitôt, ne désirant pas laisser passer trop de temps, ou cette occasion. S’il arrivait à trouver quelque chose qui venait de chez lui, peut-être qu’il arriverait à comprendre comment c’était arrivé ici... Et comment faire le chemin inverse. Il n’avait pas abandonné son idée de retourner chez lui, bien loin de là. Il savait que c’était possible, qu’une solution finirait par s’offrir à lui. Hors de question de rester là à rien faire, pendant que quelque part, son frère se retrouvait seul. Être avec Alphonse, c’était tout ce qu’il voulait. Chaque jour passé loin de son cadet était plus difficile que le précédent. Ne plus l’entendre lui raconter tout et n’importe quoi, ne plus avoir son soutien indéfectible, ne plus être capable de se confier à lui... Même ses habitudes de récupérer tous les chats errants du quartier lui manquait à un point phénoménal. C’était son petit frère, celui qu’il devait protéger jusqu’au bout, pour qui il était prêt à aller au bout de tous les mondes qui se mettraient en travers de sa route. Sauf que la piste n’avait été qu’une énième déception et surtout une immense perte de temps. Tout ça lui rappelait bien trop les mois et années passés à traquer la pierre philosophale sans aucun résultat. Chaque déception avait entamé un peu plus son moral, mais Al avait été là pour l’aider à surmonter tout ça, pour l’aider à ne pas se morfondre et à laisser aller les pensées sombres. Ici, Al n’était pas là, et il devait gérer tout ça seul. Il n’aimait pas ça, ça le foutait en rogne. Après avoir claqué la porte du magasin qu’on lui avait indiqué comme vendant le fameux métal, il s’était remis en route, agacé. Puisqu’il avait perdu un temps infini à venir ici plutôt qu’à étudier, il sortit un livre et se mit à lire en marchant, histoire d’arrêter cette perte de temps complètement inutile. Mais alors qu’il avançait, il percuta soudain quelqu’un, qui était arrivé en courant, et le volume tomba au sol, s’écrasant dans une flaque d’eau. Aussitôt, la colère sourde qui grondait déjà en lui remonta à la surface.
