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My world - Clark Kent

Lois Lane
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# Jeu 8 Fév - 22:56
« Madame, vous ne pouvez pas partir maintenant ! » La voix qui l’interpelle la fait se figer une seconde alors que ses traits se déforment en une grimace déçue. Elle qui voulait sortir discrètement, force est de constater que ce ne sera pas le cas. Elle aurait voulu reprendre son mouvement tout en se retournant pour s’excuser auprès de la bénévole qui vient de stopper sa route, mais c’est peine perdue : la jeune femme est déjà à ses côtés, prête visiblement à la retenir. Ne manquait plus que cela. Enfin, au moins Loïs peut-elle lui reconnaître une certaine opiniâtreté dans laquelle elle ne peut que se reconnaître ! Mais, en cet instant, la journaliste aurait très probablement préféré tomber sur quelqu’un de moins tenace.

Le sourire qu’elle plaque alors sur ses lèvres s’efforce de ne laisser percer aucune once de l’agacement impatient qu’elle ressent en cet instant. Elle veut juste sortir, quitter les lieux au plus vite. Car si elle est prête à reconnaître, après à peine quelques heures passées ici, la qualité et le soin sans faille dont font preuves les bénévoles de cette association qui l’ont recueilli, elle sait aussi que ce n’est pas ici qu’elle trouvera ses réponses. Notamment quand la plus importante d’entre elle est la suivante : est-ce que Clark est ici. Est-ce qu’il est présent, vivant. Est-ce qu’il n’a pas disparu de nouveau, ne lui a pas été arraché à peine l’avait-elle retrouvé, à peine pouvaient-ils enfin partager ce merveilleux événement qu’était sa grossesse ? En parlant de grossesse, d’ailleurs, elle sent bien, Loïs, l’inquiétude qu’elle ressent pour son mari monter encore d’un cran. Des quelques explications qu’elle a obtenues jusqu’alors, personne ne sait exactement ce qu’était ce phénomène, ce Collapse qui vient de la conduire ici. Et, surtout, personne ne sait si cela pourrait avoir un effet sur son enfant à naître. Mais, cela, elle ne veut pas l’apprendre seule. Si elle doit affronter une si terrible nouvelle, elle veut que ce soit avec lui. S’il est bien là…

Sauf qu’elle a fait l’erreur, Loïs, déboussolée qu’elle était à son réveil, de mentionner son état de santé devant la personne qui se tenait alors à ses côtés. Et si la jeune femme, tout en lui expliquant les bases de ce qu’elle devait savoir de son nouvel environnement, lui a assurée qu’elle serait libre de ses mouvements, cela ne veut visiblement pas dire qu’elle le sera tout de suite. C’est probablement tout à son honneur de vouloir s’assurer de la santé de Loïs, oui. Mais le problème, c’est que ce n’est pas du tout ce dont Loïs a besoin. « Je vous assure, je vais bien. Je pourrai me débrouiller toute seule. » Le sourire sur ses lèvres se crispe à mesure que les secondes passent, sans même qu’elle s’en rende compte. Parce qu’elle a de plus en plus chaud, soudain, comme si la température de la pièce commençait à monter. Parce qu’elle a lentement l’impression que son cœur commence à remonter dans sa gorge. Parce que sa vision se fait un peu plus floue, soudain. Elle a juste besoin de sortir. Elle a juste besoin de prendre l’air. Et pour le reste, elle saura se débrouiller seule. Comme elle l’a toujours fait.

Mais qu’alors qu’elle va pour se retourner, c’est une main qui se pose sur son bras ; une main inconnue, qui n’est en réalité autre que celle d’un autre bénévole qui, ayant assisté à la scène de loin, ne craigne réellement que le ton monte. Mais c’est comme si le contact la brûlait et, malgré sa ruade soudaine, elle ne parvient pas à se dégager. Elle veut juste quitter les lieux. Elle veut juste sortir d’ici ! Elle voudrait juste le revoir…
Clark J. Kent
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# Ven 9 Fév - 16:18
Flotter. C'est l'impression qu'il peut donner alors qu'il est en vol stationnaire au dessus de la ville, sa cape rouge se mouvant, derrière lui, au gré du vent. Peut-être est-il vu par certaines personnes ou peut-être passe t-il inaperçu ? Kal-El n'en a aucune idée et honnêtement ce genre de considération est le cadet de ses soucis, ce que les humains et autres êtres peuvent penser ou faire : cela ne regarde qu'eux. Enfin dans une certaine mesure puisque le kryptonien intervient malgré tout depuis qu'il est ici pour remettre de l'ordre dans les rues, son pseudonyme de Superman ayant commencé à circuler parmi la population. Non ce qui l'intéresse réellement et lui fait sonder la ville, lui fait écouter les conversations ou autres sons que lui seul peut percevoir : c'est le tenace espoir de pouvoir la retrouver, de pouvoir de nouveau la serrer dans ses bras, de pouvoir sentir le parfum de sa peau ou sa douceur sous ses doigts, de pouvoir la voir sourire, de pouvoir l'entendre rire. C'est cet espoir de pouvoir retrouver celle qui est son monde qui le fait sortir, qui le fait survoler la ville et qui évite surtout de le voir basculer à tout détruire sur son passage.

Kal-El soupire, ses traits se durcissent plus encore lorsque son ouïe capte une attaque à main armée et il fonce, ne laisse aucune chance au malfrat que de ne serait-ce amorcer le premier mouvement pour le défier ou pour fuir. L'homme se retrouve inconscient, ligoté par un tube de fer qui passait par là, la victime a à peine le droit à un regard, juste le temps pour lui de s'assurer qu'elle est indemne et de lui conseiller de téléphoner à la police qu'il est déjà de retour dans les airs, reprenant sa position statique. Les yeux clos, il laisse son ouïe de nouveau chercher le moindre signe lui prouvant qu'elle aussi se retrouve dans ce monde, qu'il ne l'a pas perdue. Il ne saurait dire combien de minutes peuvent de nouveau passer quand soudain il entend cette voix, sa voix ! Kal-El se focalise entièrement dessus pour en être certain, il pousse plus loin isolant le son des battements de son coeur, une mélodie unique pour lui. C'est elle, c'est bien elle !

Il ne lui en faut pas plus et il fonce, se pose sans aucune délicatesse, se retrouve à l'intérieur du bâtiment tout aussi rapidement et pourtant il voit la scène se dérouler au ralenti devant ses yeux. Cette main sur elle, sa tentative pour se dégager, son sang ne fait qu'un tour, son propre coeur bat à tout rompre, si violemment qu'il pourrait presque couvrir tous les autres bruits. Mouvement qu'elle a à peine le temps de terminer qu'il est sur eux, que sa propre main se referme sur le bras de cet inconnu.

- Lâchez la !

L'ordre fuse, impérieux, son ton est sec, glacial. Que cela soit cet inconnu, la femme près de lui ou même les autres personnes autour, les événements leur parviennent enfin et il l'entend cette voix murmurer "C'est Superman" à laquelle il ne prête aucune attention. Non, il se contente de raffermir sa prise, de forcer l'inconnu à lâcher Lois, lui tordant le bras jusqu'à lui faire mettre un genou sur le sol. Ce n'est que là qu'il lâche l'inconnu et peut enfin se tourner vers Lois, qu'il peut enfin s'approcher d'elle et glisser ses bras autour de sa taille, son regard noir pour l'inconnu se muant instantanément en regard d'inquiétude alors qu'il la connaît par coeur et le sait qu'elle ne va pas parfaitement bien.

- Tout est fini, je suis là, vraiment là.

Kal-El parle à voix basse pour qu'il n'y ait qu'elle qui puisse entendre ces mots. Elle pourrait aller mal pour énormément de raisons mais c'est la première qui s'impose à son esprit, reflet de ses propres angoisses pendant ces mois où il ne l'a pas vu, de ce mal qui le rongeait petit à petit.

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# Ven 9 Fév - 20:13
Les secondes qui s’écoulent lui semblent s’étirer toujours plus, chacune plus longue que la précédente. Et chacune semble aggraver un peu plus son état. La brûlure sur son bras alors que la prise se resserre. Le souffle qui a de plus en plus de mal à quitter ses poumons. Le cœur au bord des lèvres et cette nausée qui est de plus en plus intense, de plus en plus présente. Et le bruit, les bruits, confus, brouillon, dans lesquels les paroles de ses interlocuteurs se mêlent, les mots se mélanges, sans qu’elle ne parvienne plus vraiment à les distinguer, encore moins à les comprendre. En réalité ; l’air lui manque et elle commence à avoir l’impression de plus en plus effrayante d’étouffer dans une panique grandissante. Et personne ne semble le comprendre. Personne ne semble tenir compte de cette angoisse qu’elle tente de contenir tant bien que mal, de ce malaise qui grandit, qui la menace, si proche.

Et puis soudain, tout s’arrête. Juste après un claquement qui paraît aux oreilles de Loïs, proprement assourdissant. Soudain, il n’y a plus de main sur son bras, plus d’injonction qui lui est faite. Soudain, il y a cet air frais qui vient fouetter doucement son visage alors qu’elle finira par se rendre compte que le bruit précédent n’est autre que la porte d’entrée ouverte à la volée et qui, désormais, reste simplement grande ouverte, ballante. Mais cela, elle le remarquera plus tard. Cela, elle ne pourra s’en rendre compte qu’après avoir compris ce qui est en train de se passer. Et il lui faut de longues secondes pour arriver à le comprendre. Pour se rendre compte qu’elle a l’esprit de nouveau assez lucide pour que ce qu’elle voit en cet instant n’est pas une hallucination, la matérialisation de son plus profond espoir, le fruit d’une imagination perturbée par les prémices d’un malaise jusqu’alors grandissant. Mais non. La silhouette qui lui tourne le dos est bien réelle et elle la reconnaîtrait entre mille, tant elle la connaît par cœur. Et elle sait qu’il lui suffirait juste de tendre la main pour toucher le tissu de cette cape qui couvre son dos.

Et enfin, elle se rend compte de ce qu’il se passe. Du bras du bénévole tordu, de la colère qui émane de son corps tout entier. Alors elle ne réfléchit pas plus, Loïs. Parce qu’elle sait très bien ce qui peut provoquer une telle réaction. C’est elle. Ou plutôt, c’est de la voir en difficulté. Que quelqu’un puisse s’en prendre à elle. Qu’elle puisse être, d’une façon ou d’une autre, exposée à ne serait-ce qu’un infime danger. Mais elle n’est pas en danger, en cet instant ; pas vraiment. Alors malgré la nausée qui est toujours sienne, malgré le souffle qui a toujours un peu de mal à se frayer un chemin jusqu’à ses poumons, elle pose une main sur le bras couvert de bleu et murmure, sachant que lui seul pourra l’entendre : « Calme toi, tout va bien. Il ne m’a rien fait. »

Elle ne sait pas vraiment si ses mots ont la moindre importance, ni même s’il est assez calme pour les écouter. Et, au fond, ça n’a pas d’importance. Ca n’a pas d’importance, parce que l’instant d’après, elle est dans ses bras. Alors elle respire enfin, Loïs. Elle respire enfin, quand son front vient se poser sur son torse, qu’elle sent la familiarité du tissu contre sa peau, qu’elle peut enfin s’enivrer de son odeur. Qu’elle sent sa chaleur l’entourer et qu’elle la laisse presque la bercer elle qui, l’instant d’avant, avait l’impression qu’au contraire, elle était en train de brûler de l’intérieur. Elle ne dirait pas qu’elle va bien, non, pas encore, alors que la nausée ne la quitte toujours pas. Mais elle n’aurait pu souhaiter de plus belle nouvelle, en cet instant. « Emmène-moi loin d’ici… » Ensuite, ils parleront. Ensuite, elle pourra lui demander depuis combien de temps il est là, puisque la plupart des personnes présentes semblent déjà le reconnaître. Ensuite, ils pourront, ensemble, envisager la suite. Mais plus tard. Quand ils seront seuls. Pour le moment, elle veut juste qu’il l’emmène, comme elle le lui a demandé, si loin d’ici…

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# Sam 9 Mar - 17:45
Kal-El ne risquait pas de prendre son temps, pas alors qu'il sait que Lois est là elle aussi, qu'il l'a enfin retrouvée, une certitude avant même de pouvoir poser ses yeux sur elle. Et quand il peut enfin le faire c'est une vague de fureur qui peut l'envahir alors qu'il y a cet inconnu qui pose la main sur elle, qui la retient contre son gré. Il en faudrait peu pour que le kryptonien oublie que cet inconnu est un humain et donc par là qu'il est fragile, il se sait capable de tout pour la femme qu'il aime du meilleur comme du pire. D'autant plus depuis qu'il est ici et qu'il voit tant de choses qui ne vont pas, tant de choses qui le font s'éloigner de l'humanité petit à petit. C'est son regard qui glisse sur la main que Lois pose sur son bras, sans même la regarder, signe que oui il entend ce qu'elle peut lui dire mais entre entendre et écouter il y a un fossé alors que Kal-El n'est pas certain d'avoir envie de lâcher l'inconnu. Pourtant il termine par le faire, tout ça ne prenant qu'une fraction de seconde avant qu'il ne se détourne de l'inconnu pour pouvoir enfin approcher de celle qu'il aime, pour pouvoir glisser ses bras autour d'elle et la tenir délicatement contre lui.

Il en ferme les yeux un bref instant savourant le simple fait de la savoir ici et à peu près bien, non parce que la seconde qui suit, il se retrouve rongé par l'inquiétude en la regardant, la connaissant assez pour se rendre compte que Lois ne va pas bien. C'est à son tour de lui murmurer quelques mots sans savoir s'ils ont la moindre portée, le moindre impact, peut-être va t-elle trop mal pour cela malgré le fait qu'il ait l'impression que leur contact la soulage quelque peu. Mais là aussi il est possible que cela ne soit que le reflet de ses propres ressentis alors que oui, il se sent mille fois mieux maintenant que Lois est là contre lui, qu'il peut la tenir et sentir son odeur. Par contre la demande qu'elle lui adresse, il ne risque pas de passer à côté alors que c'est déjà ce qu'il comptait faire, partir de là, qu'ils se retrouvent tous les deux. Seuls.

Alors Kal-El la prend dans ses bras, il la soulève du sol pour ne laisser derrière eux qu'un simple coup de vent. Une accélération brève pour les emmener dehors où c'est bien plus délicatement qu'il décolle du sol, les emmenant dans le ciel de Nowhere pour ensuite se diriger vers la tour Wayne et se poser sur la terrasse du dernier étage. Bien sûr tout cela ne prend pas longtemps, le trajet est rapide, peut-être trop alors que Lois semble toujours aller mal mais là, il sait qu'ils auront la paix, qu'ils seront seuls, qu'ils vont pouvoir réellement se retrouver. Et surtout qu'elle va pouvoir lui parler, lui dire comment elle se sent vraiment. Mais dès que le kryptonien la pose et qu'elle a les pieds qui touche le sol, il brise cet instant de silence.

- Tu m'as tellement manquée.

Dit-il en déposant un baiser sur son front et ce parce qu'il prend sur lui depuis tout à l'heure, pour dissimuler tout ce qu'il ressent vraiment -et il n'est même pas certain qu'il existe des mots pour exprimer correctement ses ressentis, ses sentiments - que cela termine malgré tout par ressortir un peu.

- Tu viens d'arriver dans ce monde n'est-ce pas ? Parce que c'est le plus logique, il n'aurait pas pu la louper sinon. "Veux-tu qu'on aille s'asseoir ? Tu as peut-être envie de quelque chose à boire ou à manger ?" Sa manière à lui de lui faire comprendre qu'il sait qu'elle ne va pas si bien que ça mais qu'il est là, prêt à prendre soin d'elle, à exaucer le moindre de ses désirs.

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# Jeu 14 Mar - 20:35
Il ne faut pas plus de quelques secondes pour qu’elle ressente cette sensation si familière de ses pieds qui se détachent du sol, de son corps qui s’abandonne dans ses bras. Pas plus de quelques secondes pour qu’elle sache qu’il venait de prendre son envol, l’emportant avec lui. Pas plus de quelques secondes pour qu’elle ressente l’air frais venir lui fouetter le visage, avant qu’elle ne vienne l’enfouir un peu plus encore contre son torse, comme pour s’en protéger. Elle se fiche d’où il l’emmène, elle se fiche d’où ils vont. Rien ne compte plus, en dehors du fait qu’ils sont de nouveau ensemble. Rien de plus. C’est probablement pour cela qu’elle ne s’écarte pas tout de suite quand ses pieds touchent de nouveau le sol, comme si cette étreinte pouvait encore prolonger ce sentiment de bien-être, ce moment si parfait.  

Et puis il y a sa voix. Sa voix qui fait naître un nouveau sourire sur ses lèvres et autant de larmes dans ses yeux. Sa voix qui s’accompagne d’un baiser sur son front, un contact qui vient lui serrer la gorge, tant et si bien qu’elle se retrouve incapable d’y répondre. Elle, la journaliste de talent, elle, qui n’a jamais eu sa langue dans sa poche, capable de tenir tête aux plus grands, est soudain réduit à sa plus grande faiblesse, muette face à l’homme de sa vie. Il ne serait pas exact de dire qu’il lui a manqué, puisqu’elle n’a pas eu son absence à supporter – pas cette fois, en tout cas. Mais les quelques heures à peine qu’elle a passé loin de lui, arrivée dans ce monde nouveau, ont eu quelque chose de terrifiant, même pour elle qui n’a jamais eu peur de rien. Parce qu’elle ne savait ni ce qu’il se passait, ni où elle était. Et, surtout, parce qu’elle ne savait pas si elle le reverrait. Alors elle ne répond pas, non, toujours incapable de parler. Mais lorsqu’elle rouvre les yeux, qu’elle n’avait même pas eu conscience d’avoir fermé sous la douceur du baiser de Clark, son regard parle pour elle. Elle sait ce que c’est, que le manque de l’autre. Et elle ne laissera plus jamais cela arriver.

« Oui.. » Un souffle, tout d’abord, alors qu’elle reprend petit à petit assez de contrôle sur elle-même pour parvenir de nouveau à s’exprimer. « Je suis arrivée il y a tout juste quelques heures, j’ai été prise en charge tout de suite par des bénévoles, de ce que j’ai pu comprendre. Et toi, depuis combien de temps es-tu là ? » La voix de Loïs est, quand on l’a connaît, étonnamment douce ; de cette voix qu’elle n’utilise jamais qu’avec lui, surtout quand, comme maintenant, son cœur a du mal à se desserrer. De cette douceur qui se retrouve également dans le bout de ses doigts qui viennent effleurer la pommette de Superman, de cette main qui caresse lentement sa joue. Il n’y a qu’auprès de lui qu’elle peut retrouver un équilibre et qu’elle a l’impression de n’avoir besoin de rien d’autre que cela.

Lentement, elle secoue la tête dans un signe négatif, même si sa gorge commence à lui faire sentir qu’après le début de crise d’angoisse qui a faillit s’emparer d’elle et auquel Clark a mis fin par sa simple présence, un peu d’eau ne serait pas de refus ; mais, plus tard, quand elle n’aura plus plus besoin de ses bras que de s’hydrater. Elle a juste besoin de lui, en cet instant. Et, un peu, aussi, de comprendre ce qui lui arrive, ce qui leur arrive à tous les deux : « C’est quoi, exactement, ce monde ? Comment on a atterri ici, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ils ont parlé de... Nowhere, je crois ? Qu’est-ce que ça veut dire, Clark ? » Autant de questions dont elle le presse, dont il ne peut qu’avoir les réponses, lui qui semble là depuis bien plus longtemps qu’elle, sans qu’elle ne puisse, bien sûr, dater son arrivée. Mais elle sait qu’il lui dira tout, qu’il n’a, elle en est certaine, rien à lui cacher. D’autant plus qu’elle est capable d’assumer toutes les vérités.

Même si la question qu’elle pose ensuite, celle qui en réalité lui brûle les lèvres depuis le départ, semble d’un coup bien plus difficile, presque insurmontable. Parce qu’elle en ignore la réponse. Et que cela la terrifie. « Dis-moi… est-ce que le bébé va bien ? » Il doit pouvoir savoir, voir le fœtus avec sa vision rayon X, entendre les premiers battements d’un cœur qui se forme. Bien sûr, elle avait un suivi dans leur monde et elle reprendra aussitôt contact avec des médecins dès que possible pour continuer ici également. Si, bien sûr, elle est toujours enceinte. Mais elle ne peut s’empêcher d’espérer, de toutes ses forces, que Clark la rassure à ce sujet. Pour eux. Pour cet enfant qui ne saurait être plus aimé.

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# Dim 31 Mar - 20:50
Il aimerait être en mesure de protéger la femme de sa vie de tout danger mais aussi de toute détresse, de toute tristesse, de tout ce qui peut l'atteindre de manière négative... malheureusement il n'en a pas le pouvoir, il se sent impuissant lorsqu'il peut la voir les larmes au yeux comme c'est le cas actuellement. Il donnerait tout pour que cela ne se produise plus jamais, même s'il sait que la vie ne fonctionne pas comme ça. Pour autant, il comprend aussi très vite au regard que Lois peut avoir que ce n'est pas que la tristesse qui peut l'étreindre mais aussi de la joie ou du moins le soulagement de le retrouver. Au moins elle lui confirme qu'elle n'est pas là depuis longtemps mais en ce qui concerne sa question, sur l'instant il ne sait pas s'il a envie de lui répondre, il ne veut pas lui cacher la vérité non plus mais, a t-elle vraiment besoin de savoir ? La caresse sur sa joue lui offre une distraction, une raison de ne pas lui répondre tout de suite, Kal-El en ferme les yeux un bref instant, allant même jusqu'à appuyer un peu plus sa joue contre la main de Lois.

D'ailleurs cette caresse est même plus qu'une distraction mais un véritable soulagement alors que l'espace d'une seconde ou deux il n'a plus l'impression de porter le poids du monde sur ses épaules comme à son habitude. Cela reviendra bien assez vite mais pour le moment il profite, il savoure cet instant. Il n'y a bien qu'elle pour lui faire ressentir tout ça, pour l'ancrer dans la réalité, pour ramener sa part d'humanité sur le devant de la scène. Elle est son ancre. Elle est sa vie. Elle est son monde. Tant de choses qui se bousculent en lui et qu'elle est la seule à pouvoir comprendre sans qu'il n'ait besoin de prononcer une seule parole. Bien qu'il le fasse très rapidement alors qu'il n'oublie certainement dans quel état, elle peut être. Si Lois refuse sa proposition de boire ou manger d'un signe de tête, elle ne reste pas silencieuse pour autant et la journaliste refait très vite surface avec les questions qu'elle lui pose dans la foulée et l'empressement avec lequel elle le fait. De quoi lui faire avoir un sourire, léger et fugace mais bien présent.

S'il va pour lui répondre cette fois-ci, elle le prend de vitesse avec cette nouvelle question et son souffle se coupe un bref instant. Non, Clark n'avait pas oublié : il n'osait pas y penser, il ne voulait surtout pas y penser de peur de la réponse. Pourtant c'est sans hésitation qu'il se recule d'un pas sans la lâcher, son regard s'abaissant sur le ventre de Lois, se servant de sa vision à rayon X, se servant également de son ouïe pour écouter. Ce n'est que là qu'il retrouve réellement son souffle "Oui...", sa voix tremble quelque peu en lui répondant -le soulagement y est plus que perceptible- et surtout en tombant à genoux devant elle avant de venir poser la joue contre son ventre. Ce petit être qui grandi en elle, qui va être le parfait mélange d'eux deux. Un enfant, Clark y a souvent pensé sans même savoir si cela serait possible un jour alors qu'ils sont d'espèces différentes malgré le fait que sans le soleil jaune il n'est pas si différent des humains. Mais la génétique.

C'est peut-être une ou deux minutes qui passent comme ça, sans qu'il ne bouge, sans qu'il ne dise rien de plus. Le temps pour lui de faire passer le plus gros de ses émotions, assez pour retrouver la maitrise de sa voix.

- Huit mois. Il relève la tête vers Lois pour la regarder. "Cela fait huit mois que je suis arrivé ici."

Clark sait que la nouvelle va être compliquée à digérer mais il ne peut pas lui mentir ou lui cacher la vérité. Sans oublier qu'il sait pertinemment qu'elle serait revenu à la charge d'ici peut de temps. Le kryptonien se redresse, se remettant sur ses pieds, il doit être fort pour eux deux alors que ce n'est que le début de ce qu'il peut avoir à lui dire pour répondre aux questions légitimes qu'elle a pu lui poser.

- J'ai vu la réalité de notre monde tomber en morceaux, j'ai tout vu s'effondrer, je n'ai pas réussi à te rejoindre à temps avant de me retrouver ici. Même s'il était à l'autre bout du monde quand tout s'est passé, il aurait dû pouvoir rejoindre Metropolis à temps et pourtant. "Cet endroit se nomme bien Nowhere, c'est un mélange de différents univers qui se sont effondrés, qui se sont rentrés dedans pour former ce monde. Cet événement a amené de nombreuses personnes, de nombreux êtres ou créatures mais je n'ai pas encore réussi à découvrir comment il est possible que de nouvelles personnes continuent d'arriver quotidiennement ou presque."

Oh il se doute bien qu'une fois le choc passé, Lois aura de nouvelles questions mais ce qu'il lui a donné là est un résumé des informations qu'il a pu glaner tout en la cherchant inlassablement.

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# Mar 16 Avr - 20:04
Le silence qui s’éternise semble écraser un peu plus Loïs sous son poids au fil des secondes qui s’écoulent. Elle en a l’habitude, pourtant ; sans être un modèle de mutisme à la Batman, Clark n’a jamais été un très grand bavard et si, avec elle, il n’a jamais rechigné à répondre à ses bien souvent trop nombreuses questions, il leur suffit néanmoins bien souvent d’un seul regard pour se comprendre, comme les deux moitiés d’une même âme. Sauf qu’aujourd’hui, cela ne fonctionne pas. Aujourd’hui, elle ne parvient pas à lire ce qui peut se refléter dans le bleu si parfait de ses yeux, si ce n'est un surplus d’émotions tellement entremêlées entre elles qu’elle est incapable de les comprendre. Aujourd’hui, ce sont ses propres émotions qui lui nouent la gorge, le cœur et semblent court-circuiter ses propres réflexions, ses capacités d’analyse, jusqu’à la paralyser de nouveau. La joie, l’excitation, le bonheur, pur, total, de le retrouver. Et puis l’angoisse, si profonde. La peur, même. Celle de ce verdict qu’elle ne veut pas entendre, de crainte que couperet ne tombe. Elle qui pourtant n’avait jamais envisagé d’être maman, avant, se retrouvait désormais presque figée de terreur dans l’attente de savoir si elle l’avait perdu…

Et puis enfin, un mot. Juste un petit mot, trois lettres qui peinent à se frayer un chemin de ses oreilles à son cerveau. Juste un petit mot, mais celui qui change tout. Oui. Oui, leur enfant va bien. Oui, Clark a pu entendre son cœur battre, a peut-être même pu voir cette petite forme en développement, cette vie qui grandit en elle. Oui, elle donnera la vie à cet enfant qui est le fruit de l’amour qu’ils se porteront toujours l’un à l’autre. La réalisation de cela semble la frapper, tant et si bien qu’il s’agit presque d’un état de choc, dont elle ne sort qu’en sentant les bras de Clark la lâcher, son corps comme soudain happé par la gravité et son front venir se poser contre son ventre. Cela l’amuse toujours un peu, de voir avec quelle douceur il peut terminer ce type de geste alors que son mouvement est à peine visible à l’œil nu. Mais elle ne prend pas le temps de s’y attarder, aujourd’hui. Pas avec ce soulagement si profond qu’elle ressent, ni avec son cœur qui, après s’être presque arrêté de panique, lui semble battre plus fort que jamais dans sa poitrine. « Merci… » Juste un mot murmuré, sans savoir exactement à qui l’adresser. A Clark, bien sûr, pour lui donner chaque jour passé aux côtés l’un de l’autre cet amour qui la porte et pour lui confirmer qu’elle n’a pas perdu leur enfant, où à une quelconque puissance supérieure à laquelle elle n’a jamais cru ? La question, au fond, n’a même pas besoin de réflexion pour trouver une réponse et, un sourire encore quelque peu tremblant aux lèvres, sa main vient passer lentement dans les boucles brunes de celui qui, elle le sait, serait capable de lui donner le monde.

Il faut encore du temps pour que le calme revienne, mais ce silence-là semble bien plus léger, moins pesant alors que la question qui, à ses yeux, était bel et bien la plus importante, a trouvé une réponse. Pourtant, elle se crispe un peu quand Clark reprend. Huit mois. C’est le temps qu’il a passé seul ici, sans elle ; la coïncidence avec sa propre grossesse ne peut alors que la frapper et, par réflexe, sa main libre vient frôler son ventre, comme si le simple temps attendu par Clark pouvait changer quelque chose au cycle d’évolution de leur enfant. Mais très vite, ce sentiment là passe, quand il lui apprend le reste. L’horreur. Leur monde qui s’écroule et lui, seul, qui ne parvient pas à la rejoindre. Elle ne sait exactement ce que tout cela veut dire, elle ne peut imaginer les images qu’il a vu alors, probablement plus horribles encore que la destruction d’une partie de Métropolis sous la machine infernale de Zod – et elle-même a perdu connaissance, probablement au début du cataclysme et n’en a strictement aucun souvenir, si ce n’est celui de s’être réveillé dans ce monde. Et Clark a assisté à tout cela, impuissant. Clark, qui a toujours voulu sauver tout le monde, a été projeté ici, alors que son univers s’effondrait. Et alors qu’il tentait de la rejoindre… La caresse sur la tête de son amant se fait plus douce, alors, mais aussi plus marquée, plus présente. Et il y a dans ce geste toute la tendresse qu’elle ressent à son égard. Lui dire qu’elle ait désolée qu’il ait vécu cela ne servirait à rien : on ne revient pas sur le passé. Mais elle veut qu’il s’assure que, désormais, elle sera bien présente, ici. Juste pour lui.

« Tu dis que l’univers s’est effondré, mais… Qu’est-ce que ça veut dire ? Tout le monde est ?... » Elle connaît déjà la réponse, au fond, mais elle a besoin d’en avoir la confirmation de la seule personne qu’elle peut croire sur parole sans jamais douter de ses mots. Certes, il lui dit que d’autres personnes arrivent sans cesse, mais combien ne réapparaîtront pas ? Perry, Martha, et tant d’autres… Alors oui, elle le sait, Clark a vécu l’enfer, ici, seul. Clark a vécu sa disparition, comme elle-même a vécu sa mort, à la différence que lui pouvait conserver un espoir qui aurait pu le bouffer de l’intérieur si elle n’était pas réapparue, là où son retour à lui tenait du miracle. Alors sans plus y réfléchir, elle se laisse tomber au sol à son tour, Loïs. A genou, les joues humides de ces larmes qui ont fini par s’écouler de ses yeux brillants, mélange d’une tristesse face à l’horreur, du soulagement de le savoir sorti de cet enfer, et juste du bonheur d’être à ses côtés. Et ses mains viennent encadrer son visage de nouveau, pour l’entraîner dans un baiser par lequel elle veut lui transmettre tout l’amour qu’il lui a toujours inspiré. Elle ne veut même pas forcément qu’elle réponde à ces dernières questions, il ne le fera que s’il le souhaite. Mais elle veut lui assurer qu’elle est là. Et qu’elle l’aidera, quoi qu’il se passe, à penser ses plaies.

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