Not you again... - Trunks

Le calme. C’était peut-être ce que C-17 préférait dans son environnement. Le calme de la nature environnante, aurait-on dit, alors même qu’elle débordait toujours d’activité et de vie. Les grandes étendues que l’on pourrait croire vides de toute présence au premier coup d’œil, mais qui grouillaient de vie quand l’on savait regarder ; un groupe de rongeur s’enfouissant dans le sable des plaines désertiques en sentant la vibration de son pas sur le sol, quelques singes joueurs faisant tourner en bourrique un mammifère non identifié dans les espaces forestiers. C’était tellement égocentré de la part des espèces dites sentientes de considérer que la nature était calme ! Elle débordait toujours de vie, au contraire. Mais il était vrai qu’elle ne subissait que rarement les contraintes que subissaient le reste de Nowhere : ici, pas de présence humaine, ou si peu, moins encore de véhicules et d’atteintes de la civilisation. Oh, il y avait bien les quelques curieux venant s’aventurer dans les parages, bien sûr, que C-17 surveillait de loin pour vérifier qu’ils ne s’attaquent pas aux espaces protégés – dont certain qu’il avait dû tirer de quelques mauvais pas, dont une fois de sables mouvants particulièrement vindicatifs – mais on était loin de l’activité des autres quartiers. Cela lui laissait tout le temps pour accomplir sa véritable mission et pour traquer ses véritables cibles : les braconniers. Ceux qui venaient s’en prendre aux ressources naturelles de Mirage sans aucune autorisation légale, se pensant dans leur bon droit à massacrer faune et flore sans une once de scrupule. Ceux-là, C-17 prenait un malin plaisir à les renvoyaient d’où ils venaient, souvent avec quelques blessures graves, mais non mortelles, qui leurs serviraient de leçon. Et puis peut-être qu’au passage, il lui était arrivé quelques fois de se mêler d’un peu trop près des affaires des exploitations soi-disant légales des autres quartiers, particulièrement des entreprises de Nexus, en sabotant quelques-unes de leurs machines. Ca non plus, ça n’était pas très légal, mais puisque Mirage ne pouvait pas encore se défendre réellement contre ces industries qui menaçaient de la détruire, il pouvait bien faire un petit quelque chose pour aider son quartier d’adoption. Après tout, tous avaient besoin de Mirage et ce n’était pas en l’exploitant à outrance qu’ils pourraient en tirer quoi que ce soit. Même lui avait appris la patience – bon, même si cela s’apparentait plus souvent à de la fainéantise – ils pouvaient faire de même, non ?

En conclusion, C-17 aimait ce calme qui se profilait sur ses journées et moins il tombait sur des humains ou assimilés, bien mieux il se portait. Il en était là de ses réflexions quand il sentit bientôt une présence familière, quoi que fondamentalement différente de celle dont il avait souvenir. Intrigué et surtout extrêmement méfiant, le cyborg ne mit pas longtemps à prendre son envol, s’approchant le plus discrètement possible de sa cible. Grâce à ses capteurs sensoriels, il ne mit pas longtemps à la trouver : un jeune homme aux cheveux lavande, en tenue de sport, en train de visiblement s’entraîner à ses katas au milieu d’un terrain dégagé. A peine l’a-t-il aperçu qu’un étrange et violent mal de tête, aussi fulgurant qu’un éclair, semble foudroyer l’ancien humain sur place, alors que des images, des souvenirs, même, de deux réalités différentes, semblent s’entremêler et se superposer dans son esprit. Il y a les siens, d’abord, ceux d’un inconnu à toutes ses bases de données pourtant capable de se transformer en Super Saiyan et qui pensait pouvoir rivaliser avec lui ; qu’il met hors de combat, pourtant, d’un seul coup. Un jeune homme qui tente pourtant de leur venir en aide, à sa sœur et lui, quand ils comprennent que cette créature que C-17 aurait dû abattre après le sacrifice de C-16, en a après eux, mais peine perdue. Puis, C-17 ne se souvient plus de rien, à part de l’obscurité de la mort.

Et pus il y a cette autre mémoire, celle d’un autre. Celle où il sait que le jeune homme en face de lui s’appelle Trunks, que c’est un soi-disant guerrier. Qu’il s’amuse à voir grandir, plein d’espoir d’un jour pouvoir les battre, mais qui n’est même pas encore assez puissant pour que ce soit réellement amusant. Ce gosse qui s’échine à venir les affronter, plein de colère, plus encore après la mort de son mentor, mais qu’il écrase à chaque fois. Cet adolescent duquel il se repaît des hurlements de terreur, de colère, de frustration, jusqu’à le laisser pour mort de nombreuses fois, sans que cela ne lui serve jamais de leçon. Un jouet agréable, en somme… Jusqu’à ce que le jouet ne se retourne contre eux. Qu’il se soit soudain amélioré de façon exponentielle et qu’il les défit, une fois de trop. Il y a l’image d’une épée qui s’approche de son corps et C-17, cette fois, n’a rien le temps de voir venir, qu’il est déjà mort.

C’est donc le cœur à moitié artificiel empli d’une colère et d’un ressenti qu’il sait n’être pas vraiment le sien, mais également dévoré d’un sentiment de curiosité, que C-17 décide de s’approcher sans atterrir pour autant, les pieds flottant à quelques centimètres du sol, qu’il décide de faire connaître sa présence. Car il y a bien quelque chose d’autre qui l’intrigue chez le jeune homme en face de lui. C’est la si faible puissance qui émane de lui. Alors, certes, la forme de Super Saiyan confère à son espèce une montée exponentielle de cette même puissance et il est donc normal qu’il semble bien plus faible ainsi ; mais ce n’est pas vraiment la question, là. Car il ne semble pas juste plus faible que sous sa forme transformée, non. Il semble surtout presque humain. Faible. Comme s’il avait pu camoufler entièrement son Ki, ce qui, normalement, n’était pas le cas. C’était une étrange sensation. Et il était bien décidé à en apprendre un peu plus sur cette curiosité. « Tiens donc, en voilà une surprise… S’il y avait bien une personne que j’aurai souhaité revoir ici, ça n’était certainement pas toi. » La voix de C-17 est égale à elle-même, avec son petit accent traînant, presque indolent habituel et ce fond de provocation qu’il lui réserve. Pour être honnête, à part sa sœur et à la rigueur C-16, il n’avait jamais eu envie de voir personne qu’il avait déjà connu. Mais ce qui était certain, c’est qu’il ne s’attendait pas à Trunks, encore moins dans cet état. Et pas non plus à ce que cela éveille en lui, une fois de plus, ces souvenirs et ces émotions d’événements qu’il n’a jamais vécus. Il déteste cela. Et de là à ce que cette détestation ne se porte sur Trunks, il n’y a qu’un pas.

   

(( not you again... ))

   

Trunks n’allait pas mentir, la méditation lui faisait le plus grand bien. Pourtant, au départ, il avait jugé cette méthode qui reposait trop sur de l’abstrait. Il restait un homme de terrain, bien qu’il ne soit pas aussi extrême que ses congénères saiyans. Peut-être le devait-il à sa moitié d’ADN terrien et à son éducation loin d’un Saiyan pur sang. La méditation et d’autres exercices de relaxations lui avaient permis de se recentrer sur lui-même, d’aller dans les abymes de son âme et de pointer plus précisément du doigt ce qui n’allait pas pour travailler dessus. Dit ainsi, cela semblait simple et l’affaire d’une journée ou deux, mais pour effleurer ne serait-ce qu’une forme superficielle de sérénité, il avait fallu des semaines d’essais à Trunks. Il était d’ailleurs encore loin d’en maîtriser les tenants et les aboutissants. Le peu qu’il en avait exploré restait cependant satisfaisant.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, la méditation l’avait aidé à relativiser sur sa condition. Il n’avait plus ses pouvoirs, oui et alors ? Cela faisait-il de lui un sous-homme ? Un être faible ? Son introspection avait mis en exergue ses qualités de combattant et d’épéiste aussi. Trunks n’était pas si sans défense que cela, même s’il s’en était convaincu pendant les premiers mois d’errance à Nowhere. Puis, ce cheminement intérieur le poussa à reconsidérer les rencontres qu’il avait faites ou à penser à celles et ceux dont il avait entendu parler. Krilin était un guerrier puissant lui aussi et pourtant, ce n’était pas un Saiyan. Pareil pour Tortue Géniale ou encore Chi-Chi. Être un Saiyan était loin de faire tout. C’était un avantage non négligeable, certes, mais Trunks pouvait s’en sortir sans s’il s’en donnait les moyens. Tout comme eux.

C’est pourquoi un entrainement intensif était plus que nécessaire. Plus encore depuis qu’il avait dans l’idée de rejoindre l’Agence des Héros. Il fallait qu’il compense sa perte de pouvoir par sa force de frappe, mais aussi la tactique et la défense. Les quartiers dynamiques de Nowhere parasitaient son entrainement. Trop de bruit. Trop de vie. Même les salles de sport devenaient trop étroites. Trunks avait besoin de place, de solitude et surtout de réel pour se fortifier. Un sac de frappe, c’était bien, mais cela ne serait jamais aussi dur qu’un arbre, qu’un rocher ou un corps… Puis… Dans la nature… L’air ne serait pas saturé en pollutions diverses et variées. Il ne lui en fallut pas plus pour prendre le chemin du Mirage et de ses forêts luxuriantes entourées de tout un tas de paysages différents. Quand on y regardait de plus près, ce quartier très atypique de Nowhere donnait même l’impression d’être un monde dans un monde.

Le jeune homme avait pris ses aises là-bas depuis une petite semaine déjà. Si la majeure partie du temps, il s’entrainait à ses katas (revoir les bases n’était jamais inutile, surtout lorsqu’on était aussi perdu que lui), il n’était pas non plus extraordinaire de le voir courir et slalomer entre les arbres pour améliorer tout un tas de critères. Quand il lui arrivait de prendre son épée, il s’exerçait avec autant de rigueur, laissant sa lame de temps à autre atterrir dans un tronc, manquant de faire chuter un arbre ou deux à cause de la force de son coup. En y pensant, il se souvint avoir vu Luke Skywalker avec une épée étrange accrochée à sa ceinture… Peut-être qu’il pourrait lui apprendre deux, trois trucs s’il lui posait la question ?

En tout cas aujourd’hui, comme les autres jours, Trunks était concentré sur ses katas. Puisque les arbres lui servaient régulièrement de punching-ball, la tranche de ses mains ainsi que ses phalanges étaient recouvertes de bleus en tout genre, mais le jeune homme s’en accommodait. Son entrainement passait aussi par la résistance à la douleur et à comment l’encaisser le mieux possible pour tenir le plus longtemps face à un adversaire coriace. Gohan avait su se battre avec un bras en moins alors Trunks pouvait largement y arriver. Bien qu’il ne mette pas de mot sur ce traumatisme, résister au choc, c’était surtout faire, en quelque sorte, un pied de nez à la mort. Gohan n’avait pas pu la narguer, lui. Trunks poursuivait alors l’enchainement de ses katas sans perdre son objectif de vu, tout en pensant à son maître. Il voulait le rendre fier. Jusqu’à ce qu’on vienne le perturber.

Lorsque C-17 descendit devant lui à quelques centimètres du sol, Trunks n’eut aucune réaction. Enfin, en apparence. C’était simplement le résultat d’un état de choc violent. Seuls ses yeux écarquillés et un frisson d’effroi, particulièrement douloureux, qui courut le long de sa colonne vertébrale, transmettaient cette sensation d’horreur en voyant son pire ennemi, celui qui était à l’origine de bien des maux. Par réflexe, Trunks cherchait dans un discret coup d’œil C-18 qui n’était jamais bien loin. Visiblement, son rival était seul et puait l’excès de confiance. « Tiens donc, en voilà une surprise… S’il y avait bien une personne que j’aurai souhaité revoir ici, ça n’était certainement pas toi. » Qu’il se rassure, il était lui aussi la dernière personne que Trunks souhaitait revoir ici. Pourquoi fallait-il que ce soit lui d’ailleurs, entre tous ceux qui auraient pu subir les effets du Collapse ? Gohan le méritait plus que lui. Goku aussi. Ou même ses parents. Mais non. Il fallait que ce soit le pire des cafards qui jouisse de cette deuxième chance. Un état de fait qui mit Trunks profondément en colère. Ses sourcils se fronçaient durement d’ailleurs, sans qu’il ne s’en rende compte. « Parce que tu crois que c’est un plaisir pour moi de te revoir ? » siffla-t-il entre ses dents, amer. « Ça en sera un qu’au moment où je te mettrais une autre raclée. Si tu t’en souviens pas, je me chargerais de te le rappeler. » Trunks pestait, en arborant, cette fois-ci, un sourire arrogant. Un excès de confiance de façade. Il regrettait de ne pas avoir pris son épée, il n’aura que ses poings pour se défendre. Que se passera-t-il si C-17 remarquait la perte de son Ki ? Le Saiyan gardait sa position d’attaque, toisant son ennemi. Il restait en alerte, pour décocher un coup si jamais il captait le moindre signe belliqueux chez le cyborg. « Qu’est-ce que tu fiches ici, d’ailleurs ? T’aimes ça te faire démolir ? » Il étouffait un rire, toujours aussi acerbe. Trunks avait conscience que jouer les gros bras dans sa position n’était peut-être pas la bonne technique, mais il ne pouvait pas se permettre de montrer le moindre signe de faiblesse. Face à C-17, sa confiance regagnée depuis des semaines avait volé en éclat. Trunks n’était pas kamikaze au fond. Il savait pertinemment que sans son Ki, il ne pourrait rien contre lui.

   

feat. @C-17 ♡ - Code by Midnight shadow.

   

Loin de se fermer suite aux invectives de Trunks, le sourire du cyborg s’accentue encore dans une expression où l’amusement le dispute à la moquerie. Bien entendu, C-17 ne s’était pas attendu à être accueilli à bras ouverts par le jeune Saiyan, quant bien même sa sœur, dans un accès de ce que lui considérait comme pouvant s’apparenter à de la folie, avait rejoint leur petite bande. Mais il devait avouer que le voir réagir aussi violemment, le provoquer avec tant de faciliter qu’il s’emportait au quart de tour était particulièrement agréable. Ca ne calmait pas le tumulte qui faisait encore rage sous son crâne et qui continuait à être douloureux, loin s’en faut. Mais au moins cela pouvait-il l’aider à se dire qu’il n’était pas seul dans sa colère et que cette dernière était partagée. C’était, à ses yeux, un sentiment qui avait toujours prévalu et de loin à l’indifférence.

Posant enfin ses pieds au sol dans le bruit caractéristique d’un claquement de chaussures, C-17 décide de ne pas tenir compte de cette menace, enfonçant ses mains dans les poches de sa veste, comme si voir Trunks parader tel un coq ne le touchait pas. Il ressent bien, pourtant, ce frisson de peur qui remonte en lui, réminiscence de ce qu’a vécu cet autre lui au moment où il a compris ; et le souvenir et d’autant plus brutal qu’il ne lui parvient que par bribes, images et sons se mélangeant dans une suite pas toujours réellement logique. Mais ce moment-là, ce moment précis est soudain particulièrement marqué, présent à son esprit. Ce moment où l’autre s’est rendu compte que le Trunks en face de lui n’était plus le même. Ce moment où il a pu jauger de sa force, bien supérieure à celle qu’il avait jusqu’alors connu à cet être qu’il avait toujours considéré comme faible, un jouet à peine digne de leur intérêt, à sa sœur et lui. Ce moment où il avait vu sa propre mort arriver, sous la forme d’une salve d’énergie et d’une épée particulièrement affutée. Mais c’est une peur qu’il se doit de dissimuler, à tout prix, aux yeux de celui qui, jusqu’à preuve du contraire, est son adversaire. Après tout, il n’a aucune raison de la ressentir actuellement. « Je crois que tu me confonds avec quelqu’un d’autre, tu sais ? La seule fois où nous nous sommes battus, j’ai largement eu le dessus sur toi et ni toi, ni ton incapable de père n’avait pu arrêter cette créature de m’absorber par la suite. » Même si, à son retour, C-17 avait très vite su que les Saiyan l’avaient désormais dépasser en puissance, ce qui avait motivé sa mise à la retraite rapide, il ne mentait pourtant pas : de son point de vue, Trunks ne l’avait jamais battu, lui. Et quelque chose lui disait, à voir son état actuel, alors qu’il ne sentait toujours aucun Ki émanant de lui, que ça n’était pas près d’arriver.

Cela n’empêchait pour autant pas C-17 de conserver une vigilance adéquate à toute défense, des fois qu’il se trompe sur le jeune homme qui lui fait face ; en parfait combattant, il était toujours prêt à toute éventualité, même si son attitude reflétait l’exacte inverse. Et cela passait aussi par l’observation de l’autre et celle de son environnement. Par ce campement qu’il semblait avoir établi, au milieu duquel il évoluait. Par les traces sur la végétation ambiante laissée par son passage – heureusement, sans avoir réellement nuit au biosystème local. Mais aussi par les marques sur ses mains, abimées par ce que le brun devinait être des coups portés, sans qu’il ne puisse en voir de réels dégâts alentours. Et ça, c’était étrange. Ca, ça ne correspondait clairement pas à la force normale du Saiyan qui pouvait, il le savait, se montrer un redoutable guerrier. Et ça l’intriguait, tout autant que l’intriguait l’absence de Ki émanant de l’autre homme. Il avait vraiment, vraiment envie d’en apprendre plus à ce sujet. Et la seule façon dont ils pouvaient visiblement communiquer, c’était par la provocation – et une certaine dose de menaces. Ce qui lui allait très bien, évidemment.

« Me faire démolir ? Je ne sais pas, tu avais effectivement l’air de t’entraîner, n’est-ce pas ? Contre des cailloux et des arbres… Adversaires intéressants, surtout que, visiblement, les cailloux ont gagné. » Il n’était sûr de rien, mais c’était les premières hypothèses qui lui venaient en regardant le décor qui s’étendait autour d’eux. Et il se paye même le luxe de plisser les yeux dans un sourire goguenard, appuyant un peu plus encore ses paroles. Il veut voir. Il veut savoir. Il veut le pousser à bout, voir s’il agit, s’il réplique. S’il l’attaque, comme il menace de le faire et C-17 s’attend malgré tout à tout moment à esquiver un coup d’épée mal placé. Mais il ne veut pas faire le premier pas, pas maintenant. Il ne veut pas être celui qui engagera ce combat. Pas cette fois. Oh, pas qu’il soit devenu lâche, C-17, loin de là. Mais il n’avait aucune envie de se jeter dans la gueule du loup, si loup il y avait. Et dans le cas contraire… Eh bien, dans le cas contraire, c’était tout de même bien moins intéressant, n’est-ce pas ? Il ne voyait pas vraiment ce qu’il pourrait tirer de l’autre s’il n’avait réellement plus de capacités spéciales. A part assouvir sa curiosité, bien sûr. Mais pour cela, il allait bien devoir creuser encore. Et pas sûr que ça finisse par plaire à Trunks, tout ça.